AFFAIRE SOPHIE GRAVAUD : COMDAMNATION SANS APPEL DE L’IMMIGRATION INCONTROLEE !
(Un « coup de gueule » de notre amie Florence de Lille)
C’est avec une immense tristesse, dans le partage de l’indicible douleur qui frappe toute la famille Gravaud (de Nantes), après la découverte du corps sans vie de Sophie Gravaud, jeune fille sans histoire, une Française innocente comme tant d’autres.
Rappel des faits.
Le corps découvert aujourd’hui, vendredi, à Bouguenais, près de Nantes, est celui de Sophie Gravaud, 23 ans, portée disparue depuis samedi soir, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Ce corps, en partie dévêtu, a été trouvé en début d'après-midi par un automobiliste dans le fossé d'une petite route, en contrebas d'une bretelle d'accès de la voie express entre Nantes et Pornic. Les policiers avaient déjà retrouvé la voiture brûlée de Sophie, quelques heures après sa disparition. Tout ce qu’on savait de celle-ci, c’est qu’elle avait eu son fiancé au téléphone samedi dernier au soir vers 22h00, soit une heure après la fin de son travail, car celui-ci était inquiet de son retard. D’après son témoignage, la voix de Sophie était très bizarre, comme apeurée, et elle lui aurait dit sur un ton monocorde qu’il n’y avait rien et qu’elle rentrait dans le quart d’heure. Depuis, plus personne n’a jamais eu de nouvelle de Sophie jusqu’à aujourd’hui. Le juge chargé de l'enquête, ainsi qu'un médecin légiste se sont rendus sur la zone, qui a été bouclée. Cette découverte a été faite alors que le principal suspect dans l'enquête devait être présenté, à partir de 14H00, au juge au palais de justice de Nantes après avoir été transféré par avion dans la matinée de Lyon, où il était en garde à vue depuis mardi soir. Cet homme, un père de famille de 46 ans, a nié durant les premières heures de sa garde à vue tout lien avec la disparition de la jeune femme, selon une source proche de l'enquête. Mais lui et son épouse sont « fortement soupçonnés d'être mêlés de près ou de loin » à la disparition de Sophie, a déclaré jeudi le procureur de la République de Nantes Stéphan Autain. Sophie Gravaud avait été vue pour la dernière fois samedi vers 21H00, alors qu'elle sortait du magasin de prêt-à-porter masculin dans la zone commerciale Atlantis de Saint-Herblain où elle travaillait. Les enquêteurs avaient découvert mercredi soir des vêtements et des effets personnels appartenant à la jeune femme dans des friches à proximité du périphérique ouest de Nantes, non loin du centre commercial.
La découverte du corps sans vie a été faite alors que le principal suspect dans l'enquête devait être présenté au juge au palais de justice de Nantes, après avoir été transféré de Lyon dans la matinée. Son épouse a été mise en examen jeudi soir et écrouée. L'homme, un père de famille de 46 ans originaire de Bosnie, est arrivé en milieu de matinée au palais de justice de Nantes après avoir été transféré de Lyon, où il était en garde à vue depuis son interpellation mardi soir dans l'Isère. Durant sa garde à vue, ce mécanicien sans emploi a continué à nier tout lien avec la disparition de la jeune femme. Mais les enquêteurs estiment que lui et son épouse sont très fortement soupçonnés quant à la mort de la jeune fille. L'homme est notamment soupçonné d'avoir utilisé la carte bancaire et le téléphone portable de la jeune femme dans les heures ayant suivi la disparition de Sophie Gravaud, samedi vers 21H00. Il a notamment été identifié par la caméra vidéo d'une station-service de la région nantaise, où a été utilisée la carte bancaire. Le suspect a affirmé aux enquêteurs avoir acheté le téléphone portable de la jeune femme à un tiers. Il a par ailleurs expliqué s'être rendu à Bourgoin-Jallieu (Isère), où il a été interpellé, pour y chercher de l'argent chez des amis après avoir joué et perdu au jeu. Il avait pourtant interdiction de sortir du département de Loire-Atlantique en raison de sa mise en examen pour agression sexuelle sur mineure dans une affaire actuellement à l'instruction. Son épouse, âgée d'une quarantaine d'années, a été écrouée jeudi soir après avoir été mise en examen pour complicité d'enlèvement, séquestration et détention ainsi que recel.
Les chefs d’inculpation viennent d’être requalifiés en « Enlèvement et Séquestration suivis de Mort ».
Déjà, il est légitimement scandaleux qu’un « juge » (ne méritant évidemment ni le titre ni la fonction comme beaucoup malheureusement depuis Outreau, sans parler d’autres affaires comme Lajoie, etc) ait osé laisser libre un accusé, inculpé de viol sur mineure. Comment un petit « juge », pour tout dire foireux et irresponsable (donc directement responsable du drame) a-t-il pu oser faire bénéficier de la présomption d’innocence, via la liberté provisoire, un immigré quand tant de Français de souche n’ont droit qu’au mépris de nos chers élites. Il nous semblerait pourtant bien évident de n’accorder aucune mesure de ce type à des « invités » et de la réserver aux nationaux. Cela prouve le degré hallucinant de notre décadence.
Mais surtout, ce drame horrible est le symbole de l’erreur historique qui consiste à affirmer que la libre circulation des personnes est un droit acquis, une évidence liée à la mondialisation, un bienfait pour l’humanité et autres stupidités criminelles. Il faut être clair et clairvoyant. Nous ne nous en prenons évidemment pas à la race, à l’ethnie ou à la religion de cette personne, mais uniquement au fait que son crime est, en partie, lié, bien sur, à ce qu’il est, à ce qu’il représente, à travers son vécu et son passé.
Nonobstant l’aspect particulièrement crapuleux et immonde du crime, qui n’a aucune excuse quelque soit le lieu ou il aurait put être commis, force est de reconnaître avec objectivité la force, la pression du monde qui vous entoure directement. En France, la structure étatique dans son ensemble, les routes, les moyens de communication, l’aménagement du territoire et ce qui en découle, la capacité humaine et technologique des forces de l’ordre, tout cela (et bien plus) représente des freins très importants au passage à l’acte d’un déséquilibré, malgré l’évidente destruction des principaux « garde fou » comme la morale, le civisme, l’éducation, l’armée, l’amour de la Patrie, le respect, la religion, etc.
En Bosnie, on sait bien que tel n’est pas le cas, surtout en province. Dans la campagne Bosniaque, un criminel sait par avance qu’il peut commettre son forfait sans grand risque d’être inquiété. A tout le moins, il connaît naturellement sa « marge de manœuvre », qui est mille fois plus importante qu’en France. S’il vient en France, comment saurait-il qu’il en va autrement et qu’il sera inévitablement rattrapé et condamné.
Ce que nous affirmons est si vrai, que le principal suspect a été jusqu’à utiliser très maladroitement la Carte Bleue de sa victime ainsi que la puce de son téléphone portable. Il se croyait d’autant plus en état d’impunité totale qu’il venait d’être laissé libre après avoir été inculpé de « viol sur mineure », chose impensable dans son pays d’origine.
C’est ce double paradoxe qui est à la fois criminel et criminogène. Cette personne a, selon toute vraisemblance, pensé, dans un premier temps, qu’il pouvait agir comme il l’aurait fait dans son pays, puisqu’à sa grande surprise, on peut venir librement chez nous, puis, chose encore plus délirante, il a pensé que, finalement, c’était encore mieux en France, puisqu’on le laissait libre après une accusation de viol sur mineure.
L’immigration n’est un phénomène naturel que si l’acceptation ou le rejet d’un allogène reste lui aussi un phénomène naturel. Sous Louis XIII, la France pouvait se permettre le droit du sol, puisque tout immigré était accepté ou rejeté par la société, celle-ci agissant comme un organisme vivant. La méthode avait du bon et du moins bon, reconnaissons le, mais elle avait le mérite d’être logique et protectrice, dans une large mesure. Dans notre monde moderne à la fois plus complexe et avec un peuple à qui on a retiré ses défenses immunitaires, l’immigration aveugle et incontrôlée est devenue pure folie.
Qu’on ne se méprenne pas sur notre propos. Il est clair que la barbarie est potentielle et latente dans tout Homme, qu’il soit national ou non, mais il apparaît totalement dément d’ajouter du risque au risque. Il y a assez de criminalité à éradiquer chez nous sans venir en plus s’encombrer de celle de l’extérieur.
Michel Rocard avait dit que la France ne saurait accueillir toute la misère du monde, il en va de même avec toute la barbarie du monde.
Entre le sanctuaire et la décharge publique, le choix est assez vite fait.
Et ce petit rappel est valable pour tous, y compris pour Jean Marie Le Pen, qui semble avoir perdu toute notion qualitative dans le choix de ses interlocuteurs. Nous lui conseillons de revenir à la raison, car la volonté de faire un résultat ne justifie pas tout, tant s’en faut.
A Argenteuil, il n’a pas eu un mot pour les français de souche habitant ces quartiers, ces « petits, humbles et sans grades ». Par contre il a affirmé à une foule bigarrée et voilée, à propos de laquelle il ne connaissait rien, « vous êtes des français à part entière ».
« Touche pas à ma sœur ! Ni voilée ni violée ! », tel est le slogan que scandent nos amis Identitaires (et nous avec). Nous y ajoutons « ni tuée », avec les larmes aux yeux, l’ire en tête, la justice au cœur et une insondable douleur qui gagne nos tripes.
Sophie Gravaud aussi était une Française à part entière, de cœur et de souche, et elle ne demandait, elle aussi, qu’à crier « Vive la Vie ! ».
Une très belle âme s’est éteinte. Prions pour elle. Prier pour elle, sa famille et ses proches, c’est également prier pour nous !
Nous resterons toutes et tous bien silencieux ce soir. Quelque soit notre chapelle, nous savons que nous avons raison, et sur les racines du mal, et sur les remèdes à y apporter, mais nous resterons silencieux, par manque d’envie comme par carence de porte parole.
Nous nous moquons de « sanctions fermes » avant tout verbales, et c’est pour cela que nous ne voterons pas pour Sarkozy ni pour Villiers.
Nous aurions tant aimé qu’on parle de nos valeurs et de l’amour que nous leur portons, et c’est pour cela que Le Pen nous désespère autant.
Aujourd’hui, en cette heure marquée par les ténèbres de l’horreur, en ce moment symbolique et grave, plus que jamais nous avons envie de nous unir sur l’essentiel, sans excès mais sans reculade, afin d’inverser les données fausses de la philosophie politique dominante, en profondeur, afin que de tels drames ne se reproduisent jamais plus, surtout quand ils sont prévisibles et donc évitables.
Définitivement, le vote Le Pen sera pour nous un très bref passage obligé noté sur nos agendas, mais en aucun cas une finalité. Ce sera le socle qui sonnera, pour les uns, la ruine de l’échec programmé, et, pour les autres dont nous sommes, le tocsin du renouveau. Nous ne donnerons pas nos voix pour avoir sa voix, mais pour retrouver la voie. Loin d’être un effet de manche, c’est une réalité.
Sans faire de politique politicienne, en cet instant qui réclame de la dignité, nous sommes seulement en droit d’espérer que ce drame ne profite pas à Sarkozy, car ce pyromane se voulant pompier le mérite encore moins que quiconque.
Le porte parole nous manque mais nous finirons bien par sortir de l’aphonie.
Courage, courage, nous en avons bien besoin.
Ce sera pour après, car ce soir nous portons tous le deuil.
PEINE DE MORT IMMEDIATE POUR TOUS LES ASSASSINS AUTEURS DE CRIMES IGNOBLES ET POUR TOUS LES RECIDIVISTES !
NON A UNE IMMIGRATION OUVERTE AUX QUATRE VENTS AMENANT DE NOUVAUX BARBARES CHEZ NOUS !
RETABLISSONS NOS FRONTIERES !
EXIGEONS (quelque soient la couleur de peau, l’ethnie, la religion ou l’origine, et c’est un minimum) LE QUADRUPLE CONTROLE PREALABLE A LA FRONTIERE : Contrôle Judiciaire, (pas d’antécédent dans le pays émetteur) ; Contrôle Culturel (français lu, parlé, écrit) ; Contrôle Sanitaire (pas de maladie grave) ; Contrôle économique (contrat de travail).
ETABLISSONS LA RECIPROCITE, DANS TOUS LES DOMAINES, COMME BASE DE NOTRE POLITIQUE ETRANGERE !
REFUSONS TOUTE IMMIGRATION DE PAYS A FORTE CRIMINALITE PROUVEE !
Seules ces mesures de bon sens peuvent prévenir de nouveaux drames…
NON LA FRANCE NE PEUT PAS ET NE DOIT PAS ACCUEILLIR TOUTE LA BARBARIE DU MONDE !
NOTRE DEVOIR EST D’AGIR ET DE NE PLUS SUBIR ! ! !
(Un « coup de gueule » de notre amie Florence de Lille)
C’est avec une immense tristesse, dans le partage de l’indicible douleur qui frappe toute la famille Gravaud (de Nantes), après la découverte du corps sans vie de Sophie Gravaud, jeune fille sans histoire, une Française innocente comme tant d’autres.
Rappel des faits.
Le corps découvert aujourd’hui, vendredi, à Bouguenais, près de Nantes, est celui de Sophie Gravaud, 23 ans, portée disparue depuis samedi soir, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Ce corps, en partie dévêtu, a été trouvé en début d'après-midi par un automobiliste dans le fossé d'une petite route, en contrebas d'une bretelle d'accès de la voie express entre Nantes et Pornic. Les policiers avaient déjà retrouvé la voiture brûlée de Sophie, quelques heures après sa disparition. Tout ce qu’on savait de celle-ci, c’est qu’elle avait eu son fiancé au téléphone samedi dernier au soir vers 22h00, soit une heure après la fin de son travail, car celui-ci était inquiet de son retard. D’après son témoignage, la voix de Sophie était très bizarre, comme apeurée, et elle lui aurait dit sur un ton monocorde qu’il n’y avait rien et qu’elle rentrait dans le quart d’heure. Depuis, plus personne n’a jamais eu de nouvelle de Sophie jusqu’à aujourd’hui. Le juge chargé de l'enquête, ainsi qu'un médecin légiste se sont rendus sur la zone, qui a été bouclée. Cette découverte a été faite alors que le principal suspect dans l'enquête devait être présenté, à partir de 14H00, au juge au palais de justice de Nantes après avoir été transféré par avion dans la matinée de Lyon, où il était en garde à vue depuis mardi soir. Cet homme, un père de famille de 46 ans, a nié durant les premières heures de sa garde à vue tout lien avec la disparition de la jeune femme, selon une source proche de l'enquête. Mais lui et son épouse sont « fortement soupçonnés d'être mêlés de près ou de loin » à la disparition de Sophie, a déclaré jeudi le procureur de la République de Nantes Stéphan Autain. Sophie Gravaud avait été vue pour la dernière fois samedi vers 21H00, alors qu'elle sortait du magasin de prêt-à-porter masculin dans la zone commerciale Atlantis de Saint-Herblain où elle travaillait. Les enquêteurs avaient découvert mercredi soir des vêtements et des effets personnels appartenant à la jeune femme dans des friches à proximité du périphérique ouest de Nantes, non loin du centre commercial.
La découverte du corps sans vie a été faite alors que le principal suspect dans l'enquête devait être présenté au juge au palais de justice de Nantes, après avoir été transféré de Lyon dans la matinée. Son épouse a été mise en examen jeudi soir et écrouée. L'homme, un père de famille de 46 ans originaire de Bosnie, est arrivé en milieu de matinée au palais de justice de Nantes après avoir été transféré de Lyon, où il était en garde à vue depuis son interpellation mardi soir dans l'Isère. Durant sa garde à vue, ce mécanicien sans emploi a continué à nier tout lien avec la disparition de la jeune femme. Mais les enquêteurs estiment que lui et son épouse sont très fortement soupçonnés quant à la mort de la jeune fille. L'homme est notamment soupçonné d'avoir utilisé la carte bancaire et le téléphone portable de la jeune femme dans les heures ayant suivi la disparition de Sophie Gravaud, samedi vers 21H00. Il a notamment été identifié par la caméra vidéo d'une station-service de la région nantaise, où a été utilisée la carte bancaire. Le suspect a affirmé aux enquêteurs avoir acheté le téléphone portable de la jeune femme à un tiers. Il a par ailleurs expliqué s'être rendu à Bourgoin-Jallieu (Isère), où il a été interpellé, pour y chercher de l'argent chez des amis après avoir joué et perdu au jeu. Il avait pourtant interdiction de sortir du département de Loire-Atlantique en raison de sa mise en examen pour agression sexuelle sur mineure dans une affaire actuellement à l'instruction. Son épouse, âgée d'une quarantaine d'années, a été écrouée jeudi soir après avoir été mise en examen pour complicité d'enlèvement, séquestration et détention ainsi que recel.
Les chefs d’inculpation viennent d’être requalifiés en « Enlèvement et Séquestration suivis de Mort ».
Déjà, il est légitimement scandaleux qu’un « juge » (ne méritant évidemment ni le titre ni la fonction comme beaucoup malheureusement depuis Outreau, sans parler d’autres affaires comme Lajoie, etc) ait osé laisser libre un accusé, inculpé de viol sur mineure. Comment un petit « juge », pour tout dire foireux et irresponsable (donc directement responsable du drame) a-t-il pu oser faire bénéficier de la présomption d’innocence, via la liberté provisoire, un immigré quand tant de Français de souche n’ont droit qu’au mépris de nos chers élites. Il nous semblerait pourtant bien évident de n’accorder aucune mesure de ce type à des « invités » et de la réserver aux nationaux. Cela prouve le degré hallucinant de notre décadence.
Mais surtout, ce drame horrible est le symbole de l’erreur historique qui consiste à affirmer que la libre circulation des personnes est un droit acquis, une évidence liée à la mondialisation, un bienfait pour l’humanité et autres stupidités criminelles. Il faut être clair et clairvoyant. Nous ne nous en prenons évidemment pas à la race, à l’ethnie ou à la religion de cette personne, mais uniquement au fait que son crime est, en partie, lié, bien sur, à ce qu’il est, à ce qu’il représente, à travers son vécu et son passé.
Nonobstant l’aspect particulièrement crapuleux et immonde du crime, qui n’a aucune excuse quelque soit le lieu ou il aurait put être commis, force est de reconnaître avec objectivité la force, la pression du monde qui vous entoure directement. En France, la structure étatique dans son ensemble, les routes, les moyens de communication, l’aménagement du territoire et ce qui en découle, la capacité humaine et technologique des forces de l’ordre, tout cela (et bien plus) représente des freins très importants au passage à l’acte d’un déséquilibré, malgré l’évidente destruction des principaux « garde fou » comme la morale, le civisme, l’éducation, l’armée, l’amour de la Patrie, le respect, la religion, etc.
En Bosnie, on sait bien que tel n’est pas le cas, surtout en province. Dans la campagne Bosniaque, un criminel sait par avance qu’il peut commettre son forfait sans grand risque d’être inquiété. A tout le moins, il connaît naturellement sa « marge de manœuvre », qui est mille fois plus importante qu’en France. S’il vient en France, comment saurait-il qu’il en va autrement et qu’il sera inévitablement rattrapé et condamné.
Ce que nous affirmons est si vrai, que le principal suspect a été jusqu’à utiliser très maladroitement la Carte Bleue de sa victime ainsi que la puce de son téléphone portable. Il se croyait d’autant plus en état d’impunité totale qu’il venait d’être laissé libre après avoir été inculpé de « viol sur mineure », chose impensable dans son pays d’origine.
C’est ce double paradoxe qui est à la fois criminel et criminogène. Cette personne a, selon toute vraisemblance, pensé, dans un premier temps, qu’il pouvait agir comme il l’aurait fait dans son pays, puisqu’à sa grande surprise, on peut venir librement chez nous, puis, chose encore plus délirante, il a pensé que, finalement, c’était encore mieux en France, puisqu’on le laissait libre après une accusation de viol sur mineure.
L’immigration n’est un phénomène naturel que si l’acceptation ou le rejet d’un allogène reste lui aussi un phénomène naturel. Sous Louis XIII, la France pouvait se permettre le droit du sol, puisque tout immigré était accepté ou rejeté par la société, celle-ci agissant comme un organisme vivant. La méthode avait du bon et du moins bon, reconnaissons le, mais elle avait le mérite d’être logique et protectrice, dans une large mesure. Dans notre monde moderne à la fois plus complexe et avec un peuple à qui on a retiré ses défenses immunitaires, l’immigration aveugle et incontrôlée est devenue pure folie.
Qu’on ne se méprenne pas sur notre propos. Il est clair que la barbarie est potentielle et latente dans tout Homme, qu’il soit national ou non, mais il apparaît totalement dément d’ajouter du risque au risque. Il y a assez de criminalité à éradiquer chez nous sans venir en plus s’encombrer de celle de l’extérieur.
Michel Rocard avait dit que la France ne saurait accueillir toute la misère du monde, il en va de même avec toute la barbarie du monde.
Entre le sanctuaire et la décharge publique, le choix est assez vite fait.
Et ce petit rappel est valable pour tous, y compris pour Jean Marie Le Pen, qui semble avoir perdu toute notion qualitative dans le choix de ses interlocuteurs. Nous lui conseillons de revenir à la raison, car la volonté de faire un résultat ne justifie pas tout, tant s’en faut.
A Argenteuil, il n’a pas eu un mot pour les français de souche habitant ces quartiers, ces « petits, humbles et sans grades ». Par contre il a affirmé à une foule bigarrée et voilée, à propos de laquelle il ne connaissait rien, « vous êtes des français à part entière ».
« Touche pas à ma sœur ! Ni voilée ni violée ! », tel est le slogan que scandent nos amis Identitaires (et nous avec). Nous y ajoutons « ni tuée », avec les larmes aux yeux, l’ire en tête, la justice au cœur et une insondable douleur qui gagne nos tripes.
Sophie Gravaud aussi était une Française à part entière, de cœur et de souche, et elle ne demandait, elle aussi, qu’à crier « Vive la Vie ! ».
Une très belle âme s’est éteinte. Prions pour elle. Prier pour elle, sa famille et ses proches, c’est également prier pour nous !
Nous resterons toutes et tous bien silencieux ce soir. Quelque soit notre chapelle, nous savons que nous avons raison, et sur les racines du mal, et sur les remèdes à y apporter, mais nous resterons silencieux, par manque d’envie comme par carence de porte parole.
Nous nous moquons de « sanctions fermes » avant tout verbales, et c’est pour cela que nous ne voterons pas pour Sarkozy ni pour Villiers.
Nous aurions tant aimé qu’on parle de nos valeurs et de l’amour que nous leur portons, et c’est pour cela que Le Pen nous désespère autant.
Aujourd’hui, en cette heure marquée par les ténèbres de l’horreur, en ce moment symbolique et grave, plus que jamais nous avons envie de nous unir sur l’essentiel, sans excès mais sans reculade, afin d’inverser les données fausses de la philosophie politique dominante, en profondeur, afin que de tels drames ne se reproduisent jamais plus, surtout quand ils sont prévisibles et donc évitables.
Définitivement, le vote Le Pen sera pour nous un très bref passage obligé noté sur nos agendas, mais en aucun cas une finalité. Ce sera le socle qui sonnera, pour les uns, la ruine de l’échec programmé, et, pour les autres dont nous sommes, le tocsin du renouveau. Nous ne donnerons pas nos voix pour avoir sa voix, mais pour retrouver la voie. Loin d’être un effet de manche, c’est une réalité.
Sans faire de politique politicienne, en cet instant qui réclame de la dignité, nous sommes seulement en droit d’espérer que ce drame ne profite pas à Sarkozy, car ce pyromane se voulant pompier le mérite encore moins que quiconque.
Le porte parole nous manque mais nous finirons bien par sortir de l’aphonie.
Courage, courage, nous en avons bien besoin.
Ce sera pour après, car ce soir nous portons tous le deuil.
PEINE DE MORT IMMEDIATE POUR TOUS LES ASSASSINS AUTEURS DE CRIMES IGNOBLES ET POUR TOUS LES RECIDIVISTES !
NON A UNE IMMIGRATION OUVERTE AUX QUATRE VENTS AMENANT DE NOUVAUX BARBARES CHEZ NOUS !
RETABLISSONS NOS FRONTIERES !
EXIGEONS (quelque soient la couleur de peau, l’ethnie, la religion ou l’origine, et c’est un minimum) LE QUADRUPLE CONTROLE PREALABLE A LA FRONTIERE : Contrôle Judiciaire, (pas d’antécédent dans le pays émetteur) ; Contrôle Culturel (français lu, parlé, écrit) ; Contrôle Sanitaire (pas de maladie grave) ; Contrôle économique (contrat de travail).
ETABLISSONS LA RECIPROCITE, DANS TOUS LES DOMAINES, COMME BASE DE NOTRE POLITIQUE ETRANGERE !
REFUSONS TOUTE IMMIGRATION DE PAYS A FORTE CRIMINALITE PROUVEE !
Seules ces mesures de bon sens peuvent prévenir de nouveaux drames…
NON LA FRANCE NE PEUT PAS ET NE DOIT PAS ACCUEILLIR TOUTE LA BARBARIE DU MONDE !
NOTRE DEVOIR EST D’AGIR ET DE NE PLUS SUBIR ! ! !
4 commentaires:
Merci. Juste rappel des malheurs liés à l'immigration. A signaler que, malgré leur petit nombres, les Bosniaques, Kosovars et Albanais commettent quantité de délits et de crimes en France, si on en croit la lecture de la presse régionale.
Pauvre fille qui a vécu l'horreur en sortant de son travail avant de rejoindre sa famille.
Le pire ce sont encore les médias qui sont prêts à accuser les candidats qui "oseraient" en parler, sous prétexte que ce n'est pas digne de "jouer avec les peurs".
Je vous dis "merde" à vous les journaleux et les bien pensants, car ce n'est pas un jeu, c'est un meurtre! Si on ne parle pas de ça on va parler de quoi alors?
La gauche peut bien nous parler de ses chères "causes sociales" et sarkozy nous dire que c'est la faute aux gènes, on s'en contrefiche.
Une innocente est morte, une famille est épleurée, des vies ruinées, et moi j'ai envie de hurler ma haine et ma colère.
Je vous livre quelques infos troublantes sur cette affaire horrible.
N'en tirons pas de conclusions hative, mais le recoupement de ces infos pourraient amener à une véritable surprise.
Attendons les résultats demain ou après demain de l'autopsie définitive et des premiers interrogatoires des suspects.
Mais voila les infos en questions.
- La jeune Sophie travaille dans un centre commercial nommé "atlantis", dans la ZEP de Nantes, le "pire" des quartiers de la ville, ou vit une majorité d'immigrés ou de gens issus de l'immigration (comme il faut le dire dorénavant avec le politiquement correct), notamment une forte minorité de gens de couleurs à majorité antillaise.
- Ce quartier est malheureusement connu pour être un haut lieu de la délinquance de la banlieue Nantaise. Tous les ans il y a notamment des centaines de cas de vols de CB et de téléphones portables. Ces CB et portables sont revendus à la sauvette à des gens de passage à l'arrachée comme on dit.
- La voiture de Sophie n'a pas été retrouvée par la police, mais elle a été découverte en flamme par les vigiles du centre commercial. Des vigiles auraient vu s'enfuir deux hommes, dont apparemment un de couleur, à grandes enjambées vers les cités.
- La même nuit ou Sophie a été tuée, il y eu une autre affaire dramatique dans le quartier, un viol d'une jeune fille de la région. Selon les premiers éléments, des personnes de couleur sont recherchés pour cette afaire de viol.
- Pour le moment, le suspect, apparemment un bosniaque, certes déjà en examen pour une affaire d'attouchement sur mineure, n'aurait avoué qu'avoir racheter la CB et la puce du téléphone portable à des jeunes près de Nantes. Il était, selon ses dires, en déplacement urgent à Lyon, alors qu'il avait interdiction de quitter la Loire Atlantique, pour récupérer de l'argent qu'on lui devait car il en avait un besoin urgent.
Ne tirons pas de plan sur la comète, mais je m'interroge et j'ose espérer qu'en cette campagne électorale, on ne nous manipule pas, comme dans l'affaire sordide de la Foire du Trone. S'il s'avérait que la jeune fille a été tuée par des jeunes de la cité qui ont ensuite revendus la CB et le portable au bosniaque à court de fric, alors là attention les yeux.
L'affaire est déjà particulièrement horrible en l'état, mais là ça dépasserait l'entendement. Bref, passons et attendons, je ne fais que m'interroger.
J'ajoute que le bosniaque était avec sa femme (et peut être un "ami"?), que la pauvre sophie a été étranglée, battue, apparemment violée (nous le saurons demain officiellement, mais le médecin légiste a dajà déclaré qu'elle avait "résisté à une tentative de viol"), puis achevée.
Si le suspect, déjà mis en examen, sous contrôle judiciaire, accompagné de surcroit, a pu, au sortir de ses courses avec sa femme, agressée cette pauvre française, l'étranglée, la battre, la violer et la tuer, alors là c'est qu'il ne mérite que d'être classer parmi les déchets de l'humanité, les rebus, l'insondable bétise en plus, et qu'il ne mérite que le chatiment suprême et d'être maudit pour l'éternité lui et les siens.
Alors, j'attends, comme tout le monde. J'attends qu'il parle, qu'il avoue et que l'on donne les résultats des analyses ADN.
Je crois que ça ne change rien au problème évoqué dans l'article.
Soit l'auteur est français et il faut repenser tout notre système de valeur et d'intégration dans la société de tous les jeunes par le civisme. Surtout, il faut au plus vite rétablir la peine de mort, et aussi penser à l'autodéfense, ça personne n'en parle.
Et si l'auteur est un immigré ou issu de cette immigration oncontrôlée, alors il faut arrêter tout ça car oui la France a déjà assez soucis de violence en elle à gérer pour ne pas accueillir toute la barbarie du monde.
Le fait est là, cette malheureuse fille a croisé la mort alors qu'elle avait toute la vie devant elle!
France, tu as perdu une des tiennes sans raison. Malheur à nous tous!
L'hypothèse se confirme. Les tests ADN disent que les prélèvements ne sont pas ceux du suspect bosniaque.
Attendons.
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