mercredi 28 février 2007

TOUZE OU LE NIGAUD SALTIMBANQUE DE LA TROMPERIE


TOUZE OU LE NIGAUD SALTIMBANQUE DE LA TROMPERIE

Une sympathique contribution à lire et à méditer par tout le monde avant de reconstruire le Mouvement National… Amusant et instructif cette vie de M Touzé.

Le petit Jean François Touzé naît en 1953 à Boulogne Billancourt. Il ne sera pas trop marqué par cet environnement ouvrier, sa famille étant de grands Bourgeois de la Baule Pornichet, dans la Loire Atlantique, (comme Samuel Maréchal). Après des études quelconques, il obtient néanmoins une licence en lettres, puis devient, sur piston, critique musical. Dans sa jeunesse, il se fait remarquer avant tout par ses cheveux longs et son amour de substances pas toujours licites. Le vent des années 68 le pousse « évidemment » vers le rock’n roll et le rythm’n blues. Il sera toujours passionné de musique black américaine, toujours, il en sera même imbibé. Il est notamment pigiste pour le magazine « Rock’n Folk » ou sévit un certain Thierry Ardisson. Ca non plus le petit Jean François ne l’oubliera pas.

En 1982, cheveux courts mais idées du même tonneau, M Touzé indique à ses parents et amis qu’il a décidé de « s’inscrire au Front National » par l’intermédiaire de son ami Martial Bild, transfuge du PFN (Parti des Forces Nouvelles). Bild lui fait justement remarquer qu’on ne s’inscrit pas mais qu’on adhère, du verbe adhérer, synonyme de « coller ». Ca ne collera jamais trop pour cet esprit embrumé et quelque peu perdu.

L’eschatologie politique du sieur Touzé est, il est vrai, terriblement compliqué. Il se croit sauveur et se veut un destin. Il a puisé son inspiration patriotique chez les Mérovingiens et ne sort pas de là. Pour lui tout ce qu’il y a après est obligatoirement illégitime, sauf de Gaulle pour qui M Touzé voue une admiration sans borne. Il s’achètera même une paire de jumelles identiques à celles du général au cas où, on ne sait jamais… Pour Touzé, la France attend le retour du Christ Roi, et, qui sait, ce pourrait bien être lui si Dieu et le Prieuré de Sion en ont décidé ainsi. Il s’y prépare.

Pas embarrassé d’idéologie, avec une nostalgie francisque, certes stérile, mais le mettant cependant à l’abri des foudres du système, sauf d’une éventuelle camisole, M Touzé « adhère » donc au Front National en 1982. Il ne sait pas faire grand-chose, il n’aime pas trop militer, il n’a pas de « don de Dieu », il sera donc secrétaire. Ca tombe bien il en manque au 11 rue Bernoulli. Plus tard, après une promotion en 1986, il deviendra secrétaire national aux adhésions. Il passe donc ses heures à compter les cartes et à les estampiller, on l’appelle alors le « poinçonneur des vivas » parce que tout le monde l’applaudit à toute nouvelle « inscription », pardon adhésion. Jean Pierre Stirbois le félicitera en personne de son labeur et Touzé ira partout déclarer qu’il a « l’amitié du chef en plus de l’oreille du patron ».

En 1986, grande année pour celui qu’on surnomme « Jeff ». En plus de sa promotion au grade de pointeur du nombre d’adhérents, il devient responsable du bulletin téléphoné du Front National, qu'il baptisera pompeusement « Radio Le Pen » (il a toujours rêvé d'être journaliste) et qui deviendra après le départ de Touzé « Le Pen Info ». Jean François Touzé s’en occupera jusqu’à son rocambolesque départ du FN en 1990.

De 1986 à 1990 donc, Touzé fera quelques piges dans « National Hebdo » ou il pourra y déclamer tout son amour pour Jean Marie Le Pen. Il le fait si bien que Le Pen le croit. Alors quand Touzé tendra un piège à Le Pen en 1989, celui-ci tombera dans le panneau.

1989. Les élections municipales. Jean Marie Le Pen doit normalement se présenter à Marseille. Certes il a été battu par Marius Masse aux législatives de 1988, perdant au passage un pari avec ce dernier de 100.000,00FF, (pas grave c’est le Front qui paye), mais il a tout de même fait 47%. Alors il hésite. Que faire ? Il veut aller à Marseille quand même, car, depuis le départ de Pascal Arrighi, le Front National est orphelin d’un grand meneur dans la citée phocéenne, quelqu’un capable de prendre la mairie et de contrer le docteur Vigouroux. Le Pen sait très bien que ce n’est pas Gabriel Domenech, l’ex rédacteur en chef de feu le Méridional, pourtant excellent militant, dévoué, apprécié localement mais limité politiquement, qui va accomplir la tache. Des proches de Le Pen lui suggèrent d’être candidat dans sa ville natale de La Trinité sur Mer, là ou Le Pen a réalisé 51% des voix en 1988. JMLP décide néanmoins d’aller quand même à Marseille, du moins jusqu’à ce que Touzé entre en lice…

Jean François s’est constitué une petite équipe à Paris. Il est en effet responsable du XIème arrondissement. Ses troupes ne sont pas nombreuses mais il s’est lié d’amitié avec des mercenaires et des francs-tireurs du nationalisme qu’on retrouvera un peu partout jusqu’à nos jours. Il a aussi des relations dans les milieux dits « rouge brun ». On appelle alors Touzé le « National Bolchevique ». Il aime ça. Ses amis lui présentent alors un cadre de chez Giraudy, société d’affichage, Jacques Gaillard, qui veut entrer au Front National. Touzé saisit la balle au bond et court chez Le Pen. Il lui vend cette idée sublime : Jean Marie Le Pen, président du Front National, ne peut être candidat QUE dans la Capitale ! Il ne peut être candidat QUE dans le quartier populaire, historique, symbolique et surtout populaire (SIC ouf) du XXème ! Touzé en fait des tonnes pour convaincre « Le Président ». Lui, Touzé, il lui promet les moyens logistiques de Jacques Gaillard et propose de combiner sa campagne avec celle de Le Pen. Le XIème sera délaissé au profit du XXème. Jacques Reveau, trésorier du FN, candidat sur le 17ème, prêtera l’appartement qu’il possède rue des Orteaux et qui fera office de permanence. Touzé affirme à Le Pen que Marseille c’est bien trop complexe, bien trop frelaté et dangereux. Le Pen finit pas gober le tout et accepte. Touzé y gagne un surnom : Cole Porter !

Evidemment, tous les moyens de la campagne servent exclusivement à Touzé ou presque. Le Pen reste chez lui et ne voit rien. Les résultats sont au rendez-vous : 10% pour Touzé et 12,5% pour Le Pen qui ne sera que conseiller d’arrondissement. Vexé, il ne siègera jamais !

Touzé n’est plus en odeur de sainteté au FN. Le Pen a la dent dure. Il retourne à la comptabilité des adhésions et à « Radio Le Pen ». Il veut créer son propre cercle au sein du FN, le « Cercle du Luxembourg » (SIC, l’employé de bureau se veut « intello », le scribouillard se veut Scribe). Veto absolu de Le Pen qui se marre. Il y a de quoi ! 1990. Un matin de printemps, Jean François Touzé est dans son bureau de la rue du général Clergerie, siège national du FN de l’époque. Il prépare son bulletin téléphonique. En réalité, il prépare son départ. Il a pris soin de demander à ses amis d’enregistrer son message car « il a des choses à dire ». Quoi ? Tout simplement que Le Pen n’est plus l’homme de la situation, que c’est un incapable entouré de minables, et que lui Touzé, a décidé de partir mener le combat ailleurs, loin de Le Pen, mais qu’il reviendra pour sauver le mouvement national, sans Le Pen évidemment, devenu indigne de lui. De Gaulle quand tu nous tiens… Après ce message au combien historique à dimension universelle, Touzé prend bien soin de fermer la porte à clé et de garder la précieuse clé sur lui. Il passe la porte du FN en secret pour ne plus jamais y revenir, à ce qu’il jure, mais il finira par y retourner par la fenêtre fin 1999, soit dix ans plus tard. Notons que lui, et d’autres, ont conservé le précieux enregistrement pour les générations à venir. On n'est jamais trop prudent dans la fabrication de sa légende, même mythomane.

Que fait notre petit « Jeff » ? De 1990 à 1991, il ère. Il a pris soin d’emmener avec lui, outre quelques activistes militants sincères (qui vont vite se fâcher avec lui), quelques bras cassés du PFN, deux « nationaux bolcheviques » et un soutien de poids en la personne du sympathique Roland Helie, 150KG de nationalisme brut. Ainsi entouré, il va voir ce qui se passe dans les Comités « Espace Nouveau » (œuvre de Helie et de quelques autres), puis à « Nationalisme et République » de Michel Schneider, enfin partout ou il peut prendre la parole, puis, lui et ses amis décident de créer le MIN (Mouvement d’Initiative Nationaliste) fin 1991. Cette organisation n’a pas de vocation électoraliste, mais Jean Marie Le Pen émet une fatwa : quiconque se rendra à un évènement organisé par le MIN sera exclu.

Touzé décide alors de placer la barre plus en hauteur. Après le référendum sur Maastricht de 1992, il réunit ses amis autour de quelques anciens cadres du CNIP. La création d’une structure électoraliste nationaliste hors du FN est décidée : Ce sera l’Alliance Populaire (AP). Touzé et ses amis peuvent compter alors sur une structure militante assez dense et sur des cadres il est vrai de qualité. Assez rapidement, les adhésions sont nombreuses et les fédérations voient le jour sous l’impulsion de jeunes de talent qui quitteront tous l’AP en 1994. A noter que fin 1993, Mégret accepte de rencontrer Touzé, à la demande expresse de JFT, mais ce dernier se fait renvoyer dans les cordes par le numéro deux du FN.

L’aventure de l’AP durera moins de deux ans, de fin 1992 à juin 1994. L’AP présentera 80 candidats lors des législatives de 1993, dont le fameux Serge Ayoub, alias batskin, ainsi que tout le gratin du nationalisme activiste amené par les proches de Touzé. L’Alliance Populaire obtient le financement d’état, mais la machine connaît des ratés. 1994, après des cantonales réussies (plus de 100 candidats et des pointes à 8%), l’AP n’a pas les moyens de faire une liste aux européennes, malgré le soutien de Philippe Malaud, ancien ministre du général de Gaulle, et appelle donc à l’abstention. C’est le début de la crise. Touzé s’aperçoit que pour satisfaire son ambition il lui faut de l’argent et beaucoup. Il opère donc un repositionnement stratégique en recentrant tout son discours en direction des « patriotes républicains » de droite ou de gauche. Il va à la rencontre des « nationaux républicains », perdus dans la nature et tous fortement anti Le Pen. Touzé se veut Soral avant Soral. Encore et toujours marqué par De Gaulle. Décidemment, il ne changera jamais. Il veut par contre changer la ligne du mouvement, l’adoucir pour pouvoir lutter pleinement contre Le Pen. Il obtient des financements, mais c’est trop tard.

Il meurt une nouvelle fois la main sur le trésor. Ses amis, par soucis d’honnêteté, ne sont pas d’accord pour trahir. Ils veulent bien défendre des idées mais pas poignarder les militants du FN dans le dos, et là, celui qui veut se faire dorénavant appeler « JFT » leur propose et de trahir leurs idées et d’aider à détruire le FN. Ils claquent la porte de l’AP en masse et décident de créer « L’Alliance Nationale », avec l’aide de SAS Le Prince Sixte Henri de Bourbon Parme, groupuscule nationaliste qui n'aura pas le succès de son homologue italien et qui n'existera que le temps d'aider Le Pen lors de la Présidentielle de 1995. Après, les membres de ce groupe rallieront le FN ou iront dans la nature.

Touzé n’a plus d’amis, plus de militants, plus de cadres, plus rien. On peut les compter sur les doigts de la main ceux qui vont rester avec Touzé : 5 anciens du PFN dont Roland Helie, plus une demi-douzaine de supplétifs. JFT n’aura eu son financement que le temps d’un été. Ca tombe à pic, il aime la côte d’azur, alors, comme il a deux amis sur Nice, il décide de casser « sa » tirelire et de s’installer quelques temps du côté de la baie des anges. Avec sa bande il crée le PNR (Parti National Républicain) et ouvre sa permanence dans la capitale des Alpes Maritimes. Roland Helie, homme intelligent au demeurant, commence à en avoir « marre de ces conneries ». Il prend ses distances. Touzé peut donc régner sur sa grappe de militants, même si le raisin est de plus en plus de Corinthe.

Touzé écrit des entrefilets dans des fanzines au lectorat confidentiel et il désespère de végéter. « De gaulle » se les gèle (façon de parler) à Londres, pardon, Promenade des Anglais, ce qui revient au même pour notre ami JFT. Pour se détendre, Jean François Touzé ira se balader, politiquement parlant, si l’on ne considère pas la politique et Touzé comme deux éléments antinomiques. Gérard Bourgoin, le roi du poulet, président du club de foot d’Auxerre, a repris le CNIP. Touzé flaire le bon coup et se fait nommer au BP. Il tente de doubler Bourgoin et se fait plumer comme il se doit. Alors, il va voir Charles Millon qui vient de créer « La Droite » (qui deviendra LDL puis DLC, oublions ça vaut mieux). Touzé réussira à convaincre le valet de chambre de Millon de le nommer vice président de « LD », mais comme Millon n’a pas de millions, il n’a pas de quoi payer Touzé, alors Touzé voit rouge avant de se faire expulser. Il notera soigneusement sur son CV : « ex vice président du CNIP et de « La Droite » (Touzé y gagnera un autre surnom : le pitre drolatique), et il utilisera ce CV (en y ajoutant « gérant de sociétés » ç’est faux mais ça fait bien, ça ne mange pas de pain et c’est invérifiable) pour son appel en faveur de JMLP de 1999. On y vient…

C’est Bruno Mégret qui va relancer Touzé indirectement. Fin 1998, grave crise au sein du FN. Mégret n’en veut pas à Le Pen, mais a une divergence stratégique profonde avec JMLP. De plus, Mégret ne peut pas laisser des milliers de militants se faire insulter et maltraiter par Le Pen. C’est la scission que tout le monde connaît. Touzé se rapproche de Mégret, mais personne n’en veut dans l’entourage du maire de Vitrolles. Qu’on ne soit pas d’accord OK, mais la trahison pour la trahison, l’ambition pour l’ambition, ça ne plait pas beaucoup. Surtout, personne ne voit l’utilité de récupérer Touzé. C’est raté, mais ce n’est que parti remise. Comble du comble, Mégret, interdit de prendre l’appellation FN, devra changer le nom de son parti. Il crée le MN (Mouvement National) avant de créer le MNR (Mouvement National Républicain). Décidemment, « Jeff » n’a pas de chance et doit jeter aux orties son Parti National Républicain. Il doit se croire maudit. Sa traversée du désert se poursuit mais pas trop longtemps.

1999. Elections européennes. Après avoir hésité et tenter de nouveau d’avoir une place au MNR, JFT appelle à voter pour la liste Le Pen. Fin 1999, il est récompensé de sa servilité, pardon de sa serviabilité, c’est le retour au Front National, par l’entremise de Martial Bild et de Marine Le Pen qui adore son « Jeff ». Les cris des militants sincères poignardés par Touzé et notamment de Marie France Stirbois n’y feront rien, Le Pen accepte ce qu’il prend pour un caprice de sa fille.

Touzé est de retour. C’est ce qu’il fait savoir de partout, encore et toujours de gaulle en tête. Il prend la direction du havre. Ce sera son purgatoire. 2002. Election présidentielle. Marine Le Pen l’impose à la cellule « Idées Action » du Président. Là encore on ne tiendra pas compte de l’avis des militants ni des dirigeants historiques du mouvement. Le ridicule le plus achevé sera atteint au meeting de Marseille entres les deux tours de la présidentielle, ou une salle surchauffée (malgré les menaces et intimidations), mais une salle à moitié vide (à cause des menaces et intimidations), composé d’ultra fidèles, rira copieusement de voir Touzé et Dubois bras dessus bras dessous en « organisateurs » pour Jean Marie Le Pen.

Mais JFT s’attribuera une partie du succès de JMLP. La Droite Nationale humiliée, la droite nationale écrasée, mais la droite nationale libérée, c’est lui, ose t-il affirmer sans rire à son carré d’amis, pièces rapportées de feu le PNR.

Il en profite d’ailleurs pour recréer son PNR au sein du FN. Il faut changer de nom pour faire « club ». Ce sera « Ligne Droite » par antiphrase. On en rigole toujours autant au paquebot…

On retrouve « Jeff » en 2004. Elections régionales. Il supplie Le Pen d’avoir un poste de conseiller régional en Ile de France. Il aime bien la campagne, mais de loin, surtout s’il ne peut pas y être élu. Marine l’appuie et il connaît donc la consécration. Il devient enfin, à 51 ans, conseiller régional. Faute de pouvoir libérer la France pour le moment, il libérera l’Ile de France, en attendant mieux bien sur. Il garde néanmoins son pied à terre en Normandie en prévision des municipales. Mais pendant les élections régionales, il est également directeur de campagne de Jean Marie Le Pen en PACA. A-t-il le don d’ubiquité voire plus ? Oh que non ! Il le prouvera piteusement en commettant LA BOURDE de l’année. JMLP n’est pas domicilié en Provence et ne peut donc pas se présenter. Aie ! Aie ! Aie ! Ca fait mal ! Touzé rase les murs et se fait oublier, d’autant que JMLP l’avait nommé avant l’élection « Coordinateur » pour l’implantation militante en PACA, étant donné que la région ou le FN fait ses meilleurs scores est depuis longtemps déserte niveau adhérents et cadres. Quoi de mieux que de mettre un traître à la barre du renouveau, au moins il connaît le terrain du mécontentement. Normandie, Ile de France, PACA, trois régions symboliques du Gaullisme, de la Libération, des débarquements, du Mont Aurélien au Mont Valérien, Touzé se la joue « J’me voyais déjà », et, comme d’habitude, il y croit dur comme fer. Il confit même à un proche : « Je le sens, j’ai la Croix Blanche au cœur et sur le front, c’est moi qui vais succéder à Le Pen, ça ne peut être que moi ! »… Mais LA BOURDE vient tout gâcher, tout mettre par terre … pour le moment. Cette faute calme un tantinet la pathologie mentale maladive de notre ami Touzé. Il survole les européennes tandis que son patron la passe sur un bateau… Le navire JFT tangue.

Depuis JFT végète de nouveau. Rien n’a changé depuis 1985 finalement, à l’exception de son poste de Conseiller Régional. Il est certes membre du Conseil National du FN, du Comité Central (imposé par Le Pen, non élu évidemment), et même du BP (idem), mais qu’est ce que cela veut dire dans un FN devenu quasiment sans militant. Le Pen ne l’a même pas viré de son poste de coordinateur de PACA car il n’y a plus rien à coordonner. Alors, entre la Normandie et le Conseil Régional d’Ile de France, Jean François Touzé compte et recompte les inscriptions, pardon les adhésions, et il n’a plus beaucoup de travail le pauvre. Il s’en moque bien après tout, les adhésions refleuriront quand ce sera son tour d’être à la barre pardi !

2006. Campagne pour la Présidentielle. Marine Le Pen entend bien imposer ses vues. Carl Lang, Bruno Gollnisch et tous les dirigeants historiques du FN ont été mis au placard, tout du moins à l’index avec interdiction de parler aux médias. D’ailleurs, ils ne tiennent pas à trop en faire durant la campagne n’étant pas d’accord sur la ligne. Touzé se voit en homme fort, en recours, comme toujours éternel boy scout du Gaullisme, on pourrait même parler de « Gaullianisme » au sujet de JFT. Las, c’est encore raté. Touzé est fou de rage ! C’est lui le « National Républicain » alors que vient faire ce Soral ? Valmy, c’est lui, ça a toujours été lui, ça ne peut être que lui, alors on ne va pas lui prendre sa place, son jouet comme ça. Il se glisse derrière Le Pen pendant tout le discours de Valmy, histoire de bomber le torse et qu’on ne voit que lui dans la caméra. Il en fait des tonnes, mais on lui fait comprendre que ça ne sert à rien. La Bourde n’a pas été pardonnée et on a trouvé mieux que lui en la personne de Soral.

« Jeff » éructe et en devient malade. Par Toutatis et par Touzé ! On lui a tout pris, tout volé, et le fait que Soral soit un ex pote de Thierry Ardisson n’arrange pas le mental de « Jeff » qui renoue ainsi de la pire des manières avec ses jeunes années « Rock’n Folk », en se les prenant en pleine figure. Rage et haine se bousculent dans la tête de JFT. Il ne lui reste que les rapports à envoyer aux élus du FN (de moins en moins nombreux hélas) et le « CAP » sur l’immigration, mais là, même pas de diplôme en vue. Il faut dire que c’est le domaine réservé.

Alors, comme pour se calmer et se projeter dans ses éternelles ambitions de sauveur, il calcule. Il calcule si bien qu’il en arrive à la même conclusion que nous, sauf que c’est pour son compte personnel. Alors, si Le Pen est présent au second tour, Marine lui succède et je n’ai aucune chance de faire quoi que ce soit. Même si Mégret fait un mouvement d’union patriotique hors FN, il ne voudra pas de moi. Mais si Le Pen n’est pas au second tour, Gollnisch et Lang prennent le pouvoir et Mégret revient à terme. Cela exclura Marine et me voila « MOI » pour réaliser la synthèse. Gollnisch pleutre et pas beau, Mégret trop petit, Lang au look bien trop « faf », mais si mais c’est bien sur, ça ne peut être que moi… Etc Etc Etc…

Alors il change de tactique une énième fois. A la surprise générale, il prend position en faveur de Mégret, ce qui lui vaut la mise à l’index et la remise en place de Marine Le Pen qui n’est donc plus son alliée. Il n’en a cure et va encore plus loin. Lui, le « National Républicain », se met à critiquer Soral, l’ouverture, les reniements et parle de « respect des fondamentaux du Front National ». Lui l’antilibéral se met à critiquer l’anticapitalisme du FN. Lui le co-fondateur de l’Alliance Populaire, critique les « aspects trop populaires » du FN ! Tous ceux qui l’ont connu avant en rient ouvertement. Touzé ne rie pas car il connaît ses classiques, et, fidèle au vieil adage populaire, « il change de veste comme le vent pousse ». Tant mieux, JFT aime aussi Dutronc, tout baigne donc pour « l’opportuniste » qui serait prêt à tout pour faire survivre son vieux rêve : Avoir un destin, celui de sauver la France !

En 2004, à la question d’un journaliste Niçois qui demandait à Jean Marie Le Pen pourquoi ce dernier avait accepté le retour d’un ancien traître, JMLP avait répondu : « Vous savez, M Touzé c’est un garçon coiffeur, il a voulu ouvrir son propre salon, mais finalement il s’est dit que c’était bien mieux chez le patron » !

Tout est dit dans cette phrase terrible de Jean Marie Le Pen.

Il est vrai que « monsieur Jeff » se couperait bien les cheveux en quatre si ça pouvait lui assurer un avenir. Il mettrait bien une perruque ou un toupet. Et si seule une place de Reine était libre, gageons qu’il irait jusqu’à tenter l’opération.

Aujourd’hui, il lui reste Roland Helie comme fidèle. C’est peu et c’est beaucoup à la fois, car Helie est le dernier à lui reconnaître quelque talent. Récemment un ex ami de Touzé toujours membre du FN confiait en privé cet avis authentique et définitif sur un ton cynique, avis que nous faisons volontiers notre : « Bof, l’œuvre de Touzé c’est la logomachie du sycophante » !

Dieu nous préserve de ce type d’histrion à l’avenir. Nous avons plus que jamais besoin de gens humbles, fidèles, appliqués et sérieux, plutôt que de jongleurs. Et si nous avons besoin de vertus, celles que nous réclamons au premier chef ne sont pas comiques.

Quand on aspire à de hautes fonctions, on n’use pas trop sa langue à lécher des bottes après moult trahisons, et vice versa, ça finit par être suspect. Ca risquerait de se voir…


JEAN MARIE LE PEN A DONNE SA CONFIANCE A DES INDIVIDUS PITOYABLES

PLUS QUE JAMAIS PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007

AUCUN DE CEUX QUI SE PRESENTENT – ABSTENTION NATIONALE !

http://Lesnationalistescontrelepen.blogspot.com

lundi 26 février 2007

ALAIN SORAL: "Je suis toujours Marxiste"!


















ALAIN SORAL: "Je suis toujours Marxiste (...), j'ai quitté le Parti Communiste en 1993 parce qu'il ne défendait plus les travailleurs français" ... donc avant 1993 tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes!

dimanche 25 février 2007

DISCOURS DE CLOTURE DE JEAN MARIE LE PEN LORS DE LA CONVENTION DE LILLE : DU GENIE A L’INFEDILITE, OU DU PUR TALENT A L’ABANDON…




DISCOURS DE CLOTURE DE JEAN MARIE LE PEN LORS DE LA CONVENTION DE LILLE : DU GENIE A L’INFEDILITE, OU DU PUR TALENT A L’ABANDON…


Dieu quel gâchis ! Autant le dire de suite et sans détour, lors de son discours, Jean Marie Le Pen a été monstrueux, terrifiant, hors norme, quasi divin. Il y avait quelque chose du « Sacrum » latin (ce qui nous dépasse) chez cet homme qui planait sur le public d’une assistance indigne de lui, comme sur la caméra de télévision. Il parlait, que dis-je il devisait et déclamait à nos cœurs et à nos âmes plus sûrement qu’avec une plume, avant de nous tirer forcément une larme, même intérieure, tant il est au-dessus des autres. Personne ne peut ne serait-ce qu’esquisser la comparaison à côté de lui. Bayrou, Sarkozy, Royal, ne sont rien en juxtaposition, ils ne peuvent même pas exister, impossible, impensable même. C’est pareil pour De Villiers et Dupont Aignan. Pour tenir la route, il fallait à la gauche un Jaurès, à la droite un De Gaulle, et, dans la grande famille nationaliste, européenne en général et francophone en particulier, nous savons qu’il n’y a pas plus somptueux orateur depuis mars 1994 et la mort de Degrelle. [Nous parlons seulement de talent oratoire, alors inutile de venir polémiquer sur tel ou tel aspect forcément négatif, que nous connaissons tous, de la vie d’un être humain qui est depuis entres les mains de Dieu. Cela vaut pour les trois personnages cités, dont acte!]

Le Pen nous a servi un discours dont lui seul en a le secret et dont personne ne trouvera la recette, celle-ci relevant des forces mystérieuses qui gouvernent la Vie.

Cependant, car malheureusement il y a un « cependant », que faut-il en conclure ? Allons-nous abandonner notre action, allons-nous nous ranger tous derrière « Jean Marie » comme certains nous le demandent de toute la force de leur amour, allons nous céder à nos cœurs en abandonnant la raison ? Très sincèrement, nous ne le pensons pas.

D’abord, la réalité s’impose à nous. Lille aura été le tombeau de l’Union Patriotique. Et ce sera encore bien pire si Mégret cède et vient se joindre au public du meeting de Lyon. Lille était une chance UNIQUE et historique de relancer la machine de l’Union. Elle ne se représentera jamais ! Il n’y aura ni les caméras, ni l’attention des autres médias et observateurs de la vie politique française, ni la même attente et la même espérance des patriotes, que ce soit à Marseille ou à Lyon. C’est fini, terminé, lessivé, anéanti, par la seule volonté destructrice de quatre personnes que nous n’avons pas fini de haïr : Marine Le Pen, Louis Aliot, Alain Soral (Ah Soral…) et Martinez. Eux et leurs sbires sont les seuls responsables (et donc coupables comme dirait Jean Marie Le Pen) de cette infamie, de cette ignominie, qui consiste à nous obliger à agir comme nous le faisons, en ne nous ayant pas laissé d’autre choix possible. Qu’ils soient à jamais maudits ! Le seul reproche devant être fait à Jean Marie Le Pen étant de ne pas avoir mis un terme à ce sabotage en règle.

Concernant le fond du discours en lui-même, qui n’y a pas vu, là aussi, la patte de Marine et de Soral. Après une profonde analyse technique de l’exposé de Jean Marie Le Pen, il apparaît très nettement que, non seulement son inspiration était authentiquement « marxiste », car basé sur l’économie salariale et la lutte des classes, mais également que Jean Marie Le Pen a laissé sur le bas côté quantité (trop) de nos valeurs, valeurs laminées par la pierre ponce de sa fille. Même si au départ, Jean Marie Le Pen devait consacrer son discours à l’économie, non seulement il savait l’occasion bien trop belle pour ne pas distiller ses messages, mais en plus il a abordé bien d’autres aspects de son programme, et, bien tristement, les « valeurs » suggérées par un Soral sourire aux lèvres, qui n’en demandait pas tant.

Ainsi, en une heure de déclaration, Jean Marie Le Pen a parlé de syndicat, d’ultra libéralisme, d’assimilation des immigrés, des clandestins et des illégaux (ce n’est pas la même chose ?), de pauvreté, des salariés, de précarité, de politique alter européenne ( ?), de l’avenir des retraites, de la fonction publique, de l’Ecole (facteur d’intégration sociale), du pouvoir d’achat, de l’agriculture, du monde et même des galaxies. Qui s’en plaindrait ? Certes pas nous qui souhaitions l’Union la plus large. Mais, dans le même temps qu’il parlait de l’agriculture, il ne parlait plus des paysans, quand il parlait d’école, il mentionnait à peine la Patrie et jamais la morale. Jean Marie Le Pen, pour la première fois de sa vie a même cédé au (très) politiquement correct en parlant à plusieurs reprises de « Seniors » pour ne plus faire allusion à nos « anciens ». Lui qui dénonçait la « pensée molle – pensée folle » du diktat du « prêt à penser » y consent aujourd’hui gaillardement. Snobisme ? Détail ? Peut être. N’empêche que tout le monde a pu se rendre compte que pas une seule fois Jean Marie Le Pen n’avait fait référence aux aspects politiques suivants, que ce soit par le vocabulaire, les propositions voire la simple suggestion :

Identité, Religion, Terroir, Invasion, Peine de mort, la sortie de l’Europe (c’est même tout le contraire), l’Islam, L’Euro, les Pieds Noirs, les Harkis, L’Outre Mer (et pourtant quel atout économique formidable !), l’armée, la Gendarmerie, les fonctions régaliennes de l’Etat (y compris en matière économique), l’avenir de la France (NON, c’est alter national ou alter européen), nos Eglises, nos monuments, nos lacs, nos montagnes, la culture, l’idéal Français, nos atouts, Jean Marie Le Pen n’en a jamais fait mention, exceptée une petite citation de Montaigne. Pas un mot même prononcé à la va-vite. C’est tout de même déplorable !

Jean Marie Le Pen a terminé son allocution sur ce cri sorti de sa poitrine et venu du fond des âges : « Vive la Vie », mais il n’a jamais parlé d’avortement, d’euthanasie, d’eugénisme, de bio étique, voire même de simple natalité, alors que c’est le fondement même de la Nation comme de la Vie ! En une envolé terrible, il a résumé son parcours sans une allusion même brève à l’enfance. Les autres n’en font pas le quart d’accord, mais est-ce une raison valable que de penser par le bas ?

Alors que reste t-il du « Front National – Canal Historique » mis à part la « préférence nationale » et le « salaire parentale » ? Pas grand-chose, et c’est aussi terrifiant que le fut le discours de Jean Marie Le Pen. Aussi, plus que jamais nous voulons voir se terminer cette élection et passer à autre chose. Jean Marie Le Pen a eu raison de définir les immenses dangers et défis qui nous font face, mais il ne veut plus être le porteur emblématique de nos solutions de bon sens. A nous d’en tirer les conséquences.

Comment Jean Marie Le Pen, malgré ses dons infinis, pourrait-il prétendre incarner le renouveau patriotique et la concorde nationale en jetant nos valeurs, son passé et ses vrais amis, héros des luttes passées, à la poubelle de l’histoire, de son histoire ? Impensable ! Jean Marie Le Pen n’a pas fait qu’un pas à gauche, il lui a tout donné, sacrifiant 56 ans de parcours politique (son âme ?) sur l’autel des ambitions dérisoires de sa fille et de ses amis. Ca ne lui rapportera pas une voix, car la providence veille dans un sens comme dans l’autre, et la justice immanente se réveille toujours au bon moment. Ce n’est pas ses 78 ans qui l’ont empêché de faire le juste grand écart qui n’aurait négligé personne et surtout pas ses fidèles, c’est la seule volonté d’une secte de partisans jouissifs, avides et cupides.

La faute et la responsabilité de l’échec programmé retombera sur eux. Dommage pour tous les honnêtes gens qui y croyaient encore, mais il faut se rendre à l’évidence, nous sortons tous de Lille avec comme un goût amer dans la bouche. Humiliation de Mégret, mort de l’union patriotique, triomphe « romain » de Soral et de Marine Le Pen et quasi absence de nos idéaux.

Comme l’aurait dit un sage, ça fait mal, ça fait très mal…

Plus que jamais nous sommes opposés en tout au clan destructeur de Marine Le Pen et nous voulons rebâtir autour de nos dirigeants historiques. Carl Lang, Bruno Gollnisch, Bruno Mégret, et les autres, nous en appelons à vous, à votre talent, à votre lucidité et à votre courage.



MALHEUREUSEMENT … MAIS PLUS QUE JAMAIS

PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007

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samedi 24 février 2007

CONVENTION DE LILLE DU FN - DUBOIS FLINGUE MEGRET … ET LE PEN !


CONVENTION DE LILLE DU FN - DUBOIS FLINGUE MEGRET … ET LE PEN !

TROP C’EST TROP ! CETTE FOIS-CI IL FAUT EN FINIR UNE BONNE FOIS POUR TOUTE !


Nous ne devions publier un nouvel article que dimanche soir, mais les évènements, d’une portée et d’une gravité sans nom, nous obligent à intervenir dès maintenant. « Ils » sont devenus complètement fous et nous nous devions de vous en avertir au plus vite.

En effet, lors de la première journée de la deuxième convention « Le Pen Président » organisée par le Front National à Lille, dans le cadre de « l’Union Patriotique » (SIC), après la clôture des premiers travaux tournant autour du problème des « signatures », le « grand organisateur » de ladite convention, Jean Michel Dubois, s’est distingué de la plus brillante des manières. Notons pour nos lecteurs que Jean Michel Dubois est Secrétaire Départemental du FN sur le Val d’Oise, Conseiller Régional IDF, Membre du Bureau Politique (de la seule volonté de Le Pen), du Comité Central (idem), du Conseil National et qu’il est également Secrétaire National aux grandes manifestations. En privé, il se targue d’être le « vrai numéro deux du FN » et d’avoir l’oreille du Président.

Lorsque des journalistes ont donc demandé à Jean Michel Dubois, organisateur de cette convention, si Bruno Mégret serait le bienvenu, il a répondu que NON, suivant en cela les ordres de Marine, qui en fait des tonnes pour démolir toute union depuis des semaines, passant la surmultiplié depuis deux jours et réussissant l’exploit d’utiliser les médias pour ses basses manœuvres.

Allant plus loin, les journalistes demandèrent alors à Dubois ce qu’il se passerait si Bruno Mégret venait quand même, et surtout s’il serait au moins aussi bien reçu que Dieudonné à la fête des BBR.

Réponse hallucinante et suicidaire de Dubois : « MAL LUI EN PRENDRAIT. AVEC UN ENNEMI ON PEUT TOUJOURS FAIRE UN PACTE, MAIS PAS AVEC UN TRAITRE. LES TRAITRES ON LES FUSILLAIT PENDANT LA GUERRE ! » !!!

(
http://www.rtl2007.fr/actualite/0/pen-hausse-ton-5037.html - http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/politique/20070224.FAP5837/parrainages_jeanmarie_le_pen_denonce_des_pressions_cont.html notamment)

Outre le fait que ces propos guerriers deviennent définitivement ridicules dans la bouche du personnage, pour quiconque le connaît un peu, ces déclarations sonnent le glas de l’Union Patriotique et ôtent toute chance à Le Pen d’être présent au second tour tant ils ont choqué dans les rangs patriotes et nationalistes. Il y a ceux qui rient sous cape et ceux qui font grise mine, mais tout le monde se demande bien ou veut en venir Jean Marie Le Pen et chacun de s’interroger sur sa capacité à faire encore montre d’autorité. Dorénavant, si tout le monde se tait côté Lang ou Gollnisch, tout le monde parle à tort et à travers dans le clan de Marine Le Pen, même un Dubois, c’est dire. Les patriotes sont perplexes et presque sur le carreau.

Car enfin, qui c'est Jean Michel Dubois ? Petit rappel historique. Jean Michel Dubois est venu au FN par la toute petite porte après le décès de Jean Pierre Stirbois. Auparavant, il était bloqué car le secrétaire général du FN ne lui faisait aucune confiance et le prenait à vrai dire pour un rigolo. Peu reluisant par son « intelligence », pas très subtil, pas politique pour deux sous, avec le charisme d’une huître et la classe d’un américain moyen en vacances, il est néanmoins d’une famille très riche. Chef d’entreprises dans la banlieue parisienne (92 et 93), élu de la CGPME (MEDEF) sur Montreuil, habitant la ville cossue d’Enghien les Bains (95) non loin du Lac, possédant quelque attache aux Etats-Unis (ou il se rend souvent avec Le Pen l’invitant régulièrement en villégiature), cet homme sans envergure suit Le Pen car il a échoué ailleurs, alors il se dit qu’au FN, il pourra éventuellement se faire remarquer. Effectivement, ce sera le cas, mais pas dans le sens souhaité, au contraire. Atlantiste, Ultra Libéral, Pro Américain, Anti Arabe, Opposé en tout aux valeurs nationalistes, grand admirateur du super fourre tout idéologique d’outre atlantique, il finira comme il se doit en étant co-fondateur du cercle « Alexis de Tocqueville », avec Didier Schuller (le chiraquien multi condamné du RPR) et quelques UDF. Ce « cercle » d’intellectuels dits « des broussailles », a pour objectif de réunir toute la droite sans exclusive. Soumission au Dieu Amérique et manque de neurones aidant, le cercle fera long feu, et après un bref de passage de Michel Poniatowski le temps de dîner, il ne sera plus qu’une énième branche morte du FN. Il faut dire que sur le terrain il y a beaucoup mieux, quantitativement comme qualitativement, avec, notamment, le GRECE, le Club de l’Horloge, le Cercle Renaissance, le Club 89, voire « Polemia ». A noter que Dubois créera également au sein du Front National une autre coquille vide, les « Cercles EML » (Entreprises Modernes et Liberté), nom bien pompeux pour un cabinet de toilette qui ne réunira jamais plus de 20 quidams égarés. Il faut dire que Jean Michel Dubois, « Jim » pour les intimes, préfère participer à des soirées mondaines avec ses amis, dont Rika Zaraï, ou se montrer, chemise jaune au vent, au bras de « Jean Marie » à Miami. La vie est belle…

Jean Michel Dubois aura du mal à se faire une place au FN. Sur le 93, Franck Timmermans et Martial Bild ne veulent pas en entendre parler, il ne manquerait plus que ça. Idem sur le 92 ou Jean Yves Le Gallou et Marie Caroline Le Pen ne souhaitent travailler qu’avec des gens sérieux. Ce sera donc le Val d’Oise, ou après un imbroglio digne d’un très mauvais western, (affaires multiples, Orget, Pierre et Marthe Bruna [la « cantatrice amatrice » du disque collector ou JMLP chante « La Marseillaise » et le « Nabucco » du temps ou le FN préférait les musiques enracinées aux tempos maçonniques de Vangelis], Yvon Briant, Yves De Coatgorden, etc, nous y reviendrons si besoin est), Jean Michel Dubois devient enfin Secrétaire Départemental. La gloire ! Après avoir fait le vide total autour de lui, il régnera péniblement sur une armée de cas sociaux et de septuagénaires, aidé en cela par la fille de son ancien rival qu’il finira par embaucher, avant de la placer au Comité Central du FN.

Jean Michel Dubois n’est pas trop catholique, c’est le moins qu’on puisse affirmer. Tant mieux, la nouvelle épouse de JMLP non plus. Les deux ne vont plus se quitter. Ils créeront un cercle des Protestants du FN avec le Pasteur Blanchard, toujours actif. Pour se faire pardonner, il rendra visite au pape en 2001, puis il suivra Jany Le Pen dans l’aventure de « SOS Enfants d’Irak », comme quoi tout être n’est jamais foncièrement mauvais et que même un médiocre peut réussir une « BA » dans sa vie. Réconfortant…

Aujourd’hui, Dubois est le « secrétaire national aux grandes manifestations », ou il a remplacé « Popeye » depuis quelques temps déjà. Ca tombe bien, le Front National n’organise plus de manifestation de masse, il n’a donc pas trop à travailler. Il reste ce qu’il a toujours été, un homme sans idée mais avec une passion : la Lepénophilie. O, pas dans ce qu’il y a de meilleur à prendre chez le « Menhir », mais n’est-ce pas l’amour qui compte après tout, et le monsieur s’aime aussi beaucoup. Donc tout va bien.

Reste que c’est tout de même lui, sans doute la personne la plus traître aux idées nationalistes, (fut-ce à son corps défendant), qui ose ainsi qualifier Bruno Mégret. On aurait pu en objecter des éléments à ce Dubois, mais vu le personnage, est-ce nécessaire sauf pour l’édification de nos lecteurs. Comme de réaffirmer que Mégret n’avait jamais été un traître à nos idées mais avait eu une divergence stratégique profonde avec Jean Marie Le Pen, JMLP se laissant emporter au gré des vagues quand Mégret voulait les contrôler. Comme de dire que Mégret avait été suivi par 16.000 fidèles quand Dubois ne fut jamais suivi que par son ombre, et encore selon l’heure et sa position. Comme de rappeler à Dubois que le seul vrai traître qu’ait connu Jean Marie Le Pen, Jean François Touzé, est maintenant en odeur de sainteté au paquebot. Ce fut pourtant le premier à ne pas se contenter de protestations intellectuelles, jugeant ces arabesques indignes de lui, mais à lancer des candidats contre ceux du FN lors de toutes les élections. Il fit battre quantité de candidats frontistes, y compris Marie France Stirbois, il empêcha nombre d’autres d’accéder au second tour d’une élection … dont Jean Michel Dubois lui-même aux législatives de 1993 ! Cela n’empêche nullement Dubois de s’incliner dorénavant devant Touzé, s’il le faut, on ne se refait pas. Mais il n’y a pas que la courbette que Dubois aime bien, lui aussi sait ce que trahir veut dire, son « meilleur ami », le publiciste Jean Thierry Gampert, peut en témoigner de manière privilégié. Parti avec Mégret en 1998, ce dernier n’eut plus jamais de nouvelle de son « ami ». Pas de fidélité en politique par carrence de conviction, pas de fidélité en amitié, on espère pour son épouse qu’il soit fidèle à autre chose qu’aux Mercedes dont il est si friand. Allez savoir… Cet immuno-déficient de l'esprit est capable de tout!

M Dubois a la mémoire courte ? Non, il n’en a pas du tout ! C’est parce qu’on a appuyé sur le bouton de ce culbuto qu’il s’est mis à dodeliner et à menacer Bruno Mégret, lui promettant, lui le pleutre, le veule floridien, 12 balles dans la peau. Le « popote » à Marine contre le « puputschiste » de Vitrolles ! Règlement de compte à OK Corral ? Que nenni, ce serait plutôt l’éternel remake de l’épuration, l’heure des lâches qui s’imaginent braves, l’instant ou le planqué se croit courageux, le jour ou celui qui n’a rien fait entend bien se construire un passé.

A mort « Naboléon » ! « Brutus » au poteau ! Quand celui qui a tout raté s’obstine à détruire à l’avance toute potentialité de succès des autres, il ne s’y prend pas autrement. « Dubois a tout cassé » ! Oui, d’accord, mais avant lui combien, et après lui combien encore, et aux ordres de qui ? Ces gens là, ces traîtres et ces comploteurs sont de la race de ceux qui pousserait un prêtre de la Fraternité Saint Pie X à se faire musulman. C’est le Front National de demain si par malheur Jean Marie Le Pen était une nouvelle fois présent au second tour de l’élection présidentielle. Maintenant, beaucoup de gens sincères l’ont compris et se placent déjà dans l’optique de rebâtir après autour de nos leaders naturels que sont Carl Lang, Bruno Gollnisch, Bruno Mégret et quelques autres. Il n’est pas trop tard pour faire passer ce message.

Dubois, ses amis et ses supérieurs, ont commis le crime d’être trop arrogants, bien trop, et ils viennent de faire perdre toute chance à Jean Marie Le Pen d’être au second tour. Plus qu’une volonté, (pourtant affichée fièrement), c’est une analyse.

On parie ? L’Ire des militants va tout emporter sur son passage ! Sans compter l'effet désastreux qu'auront de tels propos sur un électorat qui attend la concorde civile et non la guerre du même nom et qui ne veut fusiller personne, surtout pas un patriote!

(article contribution de Pierrick)

NB : Suite à de très nombreuses protestations de nos sympathisants, nous sommes amenés à préciser que les propos de Jean Michel Dubois ne furent malheureusement pas le seul scandale de la première journée de la convention de Lille. En effet, aussi stupéfiant que cela puisse paraître, l’ex ennemi marxiste, Alain Soral, frère d’Agnès l’actrice, était non seulement présent, mais il a également pris la parole, après et bien plus longtemps que Carl Lang, qui était pourtant chez lui dans son fief. Soral a osé donner des pseudos leçons de politique aux militants présents, mais il a également parlé à la presse. Qu’a-t-il dit ? Ceci : « Oui, je suis de gauche et au FN et ce n’est pas incompatible, c’est même le contraire. Je reste marxiste et pour moi le combat politique est une question de dialectique marxiste ! ».

Nous pressentions cela depuis quelques semaines, et nous avons finalement eu raison avant tout le monde. La bassesse du petit clan de nuisibles et de parasites autour de Marine Le Pen n’a aucune limite. Nous rappelons que l’excuse pour expliquer le refus de la présence de Bruno Mégret à Lille était d’expliquer qu’il fallait être membre du Front National. Or, Soral n’est pas membre du FN et il s’en vante partout. Il est venu, il a été accueilli en héros par Le Pen, il a parlé devant tout le monde et a eu le droit, droit refusé à Carl Lang, de parler à la presse. Mégret ? Aux chiottes ! Que dire d’autre ? C’est la pure vérité !

Dorénavant, ceux qui se taisent ou maintiennent un semblant de soutien à Le Pen savent à quoi s’en tenir. Nous attendons avec impatience les réactions de Bernard Antony et de ses amis, notamment. Il y a de fortes probabilités pour que le FN explose avant l’élection, car trop de militants n’en peuvent plus et ont vraiment du mal à le cacher plus avant. D’ailleurs les rangs étaient très clairsemés aujourd’hui. L’indication du chant du Cygne ?

Reste que l’affaire Soral est un cas d’école de haute trahison…

A quand la prochaine couleuvre à avaler par le dernier carré ?

Réagissez et ne laissez pas faire l'avenir par ceux qui défont le Front National !
DERNIERE MINUTE:
Mégret renonce à se rendre à Lille. Il vient d'annoncer à la presse que Jean Marie Le Pen lui avait demandé, au nom de sa fille, de ne pas venir, ce qui aurait constitué une provocation (SIC). Il a fait savoir qu'il avait répondu à Le Pen par un communiqué laconique qui affirmait: "qu'en application de la ligne définie par la directrice stratégique de sa campagne, il lui apporte son soutien à distance"...Pourquoi Mégret cède t-il et s'humilie t-il encore une fois, alors que sa présence seule aurait pu être bénéfique à nos idées comme à Le Pen, si tant est que ce dernier en ait désormais quoi que ce soit à faire.Tout cela sent mauvais. C'est la fin de tout. Triste fin de vie politique pour Le Pen, terminant sa carrière comme le fossoyeur de la droite nationale. C'est encore un coup dur pour nous tous, mais, dans la tempête, il faut savoir garder le cap. Notre cap, c'est celui que nous défendons depuis l'origine de notre collectif, à savoir barrer la route à nos ennemis de l'intérieur et promouvoir le renouveau à travers nos leaders naturels. Nous les connaissons, à eux de se manifester. Il est grand temps. Jamais de notre vivant nous aurions cru voir Soral à la Tribune "chez nous" et Mégret à la porte! L'Union de Le Pen est plus qu'un leurre, c'est un tombeau pour les idées patriotiques! Un affront de plus! Arrêtons de supporter l'insupportable ou de tolérer l'intolérable! Dénonçons et agissons. C'est tout ce que nous pouvons faire, mais nous devons le faire.Aujourd'hui est un jour bien triste, mais au moins nous sommes prévenus et nous savons!
Ite Missa est.
Enfin, concernant Mégret, c'est quand même une faute majeure de ne pas y aller.

TROP C’EST TROP - PLUS QUE JAMAIS

PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007

IL A TOUT CASSE : RENDONS LUI LA PAREILLE !

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vendredi 23 février 2007

UNION DES PATRIOTES CONTRE LE PEN : POURSUITE DE NOTRE GRANDE CAMPAGNE – VOUS POUVEZ NOUS AIDER







UNION DES PATRIOTES CONTRE LE PEN : POURSUITE DE NOTRE GRANDE CAMPAGNE – VOUS POUVEZ NOUS AIDER


Fin décembre, après les ultimes tentatives de faire entendre raison à Jean Marie Le Pen, nous avons décidé de nous lancer dans cette aventure. Entre le risque d’agir et de jouer les Cassandres et celui de ne rien faire et donc de laisser faire, nous avons opté justement pour la première solution. Parmi les dix groupements de militants que nous représentions au départ, soit plus de 600 personnes (toutes ayant toujours agit pour la cause nationale avec désintérêt), pas une seule n’a été reçut à Saint Cloud et pas une seule n’a reçut la moindre réponse. Et pourtant, que demandions-nous ? En aucun cas le respect d’une quelconque orthodoxie et encore moins le jusqu’auboutisme dans le dogme pas plus que le maintien d’une ligne « dur » voire « extrémiste » qui n’existe que dans l’esprit des pseudos journalistes. Non, nous n’avions aucune exigence de ce type et nous demandions simplement le juste rééquilibrage, le simple respect de nos idées force et de notre engagement passé. Non seulement nous n’avons rien obtenu de tout cela, mais on nous a traité comme des moins que rien. On nous a fait comprendre qu’on ne comptait plus sur nous et même qu’on ne désirait plus nous voir. Soit. Après analyse de la situation, des documents, des informations et des témoignages en notre possession, nous avons très vite compris que Jean Marie Le Pen ne désirait nullement gagner pour la France, mais être au second tour de l’élection Présidentielle afin de pouvoir installer sa fille à la tête du Front National en profitant de la vague de sympathie, comme de l’anesthésie générale que ne manquerait pas de produire la présence du « menhir » en final. Nous n’allons pas revenir dessus, tout étant largement expliqué dans nos articles et contributions, comme dans les commentaires de nos visiteurs.

Le but est ici de parler un peu de la campagne que nous entendons mener. Sur le terrain et suite à notre réunion de Bordeaux il y a quelques jours, nous avons décidé de réaliser des tracts déclinant les reniements et trahisons de Jean Marie Le Pen avec, à chaque fois, la reprise de son slogan : « Il a tout cassé ! ». En ce qui concerne l’affichage, suite à un courrier d’une de nos contributrices, nous étudions la possibilité de réaliser des affichettes « bulles » avec le slogan : « Je vous ai trahi, ne votez pas pour moi ! ». Nous vous tiendrons informer très rapidement.

Nous connaissons tous dans nos relations des personnes qui votent encore pour Jean Marie Le Pen. A destination de celles là et de ceux là, nous avons réalisé un tract spécial sous forme de lettre explicative des multiples reniements, trahisons et comportements inadmissibles de Jean Marie Le Pen. Le tract sera en ligne dès demain sur le site.

Enfin, nous vous indiquons que vous pouvez d’ores et déjà nous aider en menant campagne sur Internet. Récemment, un politologue a déclaré que l’élection présidentielle française allait « se jouer sur Internet comme celle des USA en 2004 ». Il a ajouté « qu’avec l’entrée en lice de Bové et la poussée de Bayrou, l’accès au second tour serait serré et se jouerait peut être à 150.000 voix près ». Que ce soit 150.000 ou 300.000 voix, cela donne un différentiel largement à notre portée, du fait que nous sommes passés de 600 à 1800 membres, que nous avons 12 « mailings lists » de plusieurs centaines de contacts chacune, que nous avons des relais partout en France et que chacun de nos militants peut et doit avoir une influence sur au moins 20 personnes, ce n’est pas trop demandé. Nous pouvons donc « faire » cette élection, n’en déplaise à nos détracteurs de ce que nous appelons depuis décembre 2006 la « Lepénie patentée ». Avouez que ce serait à la fois une bonne leçon bien méritée et une réponse juste et proportionnée aux insultes et humiliations dont ont été victimes quantité de patriotes de la part du clan « Le Pen », à commencer par Marine qui détruit tout sur son passage. Ce serait un message très fort pour ce que nous réclamons en fait, à savoir la reconstruction d’un Mouvement National fort autour du trio « Carl Lang, Bruno Gollnisch, Bruno Mégret », voire d’autres courageux de talent nous ne sommes pas sectaires.

Vous pouvez donc nous aider de la manière suivante : Nous vous encourageons à reprendre les éléments que vous souhaitez dans nos textes et commentaires et à aller porter la bonne parole sur tous les sites, blogs, forums que vous voulez. Martelez, martelez il en restera toujours quelque chose ! Vous pouvez aller déposer des commentaires, en mentionnant toujours le lien vers notre site, sur tous les sites patriotes, et également sur les sites dits de « streaming vidéo », comme « google vidéo », « Youtube.com », « Dailymotion.com », « Neufstream.com », « Alice vidéo », « Yahoo Vidéo », etc. Le « streaming vidéo » est une nouveauté vivant actuellement dans le flou juridique. Ce sont des sites qui reprennent « in extenso » tout ou partie d’émissions TV, de films voire de vidéos personnelles, sans que les droits d’auteur soient forcément respectés. L’Etat y mettra sans doute de l’ordre d’ici peu, mais d’ici là profitons en aussi un peu. Nous vous demandons de le faire totalement et fermement, mais sans polémiques inutiles avec des Lepénistes ou des gauchistes. Certains jeunes proches de nous l’ont fait et nous avons du y mettre un terme. Nous ne voulons pas ternir notre image, plus saine de jours en jours, et nous ne voulons pas nous rabaisser au niveau des basses manœuvres des agents de la gauche extrême comme des permanents du paquebot.

Nous vous encourageons donc à agir par « tous les moyens y compris légaux », selon la formule consacrée, pour relayer notre action sur toute la toile. Plus notre message sera entendu, plus il sera efficace. Le plus intéressant à notre sens est de visiter les forums patriotes indépendants. Ce sont encore les lieux de rencontres les plus sains du Web.

Pour les tracts, ils seront en ligne au plus tard dimanche. Et pour les affichettes, elles seront disponibles après la publication de notre appel des 200. A propos de cet appel, nous avons déjà dépassé les 150 noms et nous vous demandons de tout faire pour nous aider et nous en envoyer le plus possible. Si nous dépassons les 200, tant mieux !

Nous n’avons pas de grands moyens, mais nous avons du cœur et du courage.

Aidez-nous, aidez-vous ! Vous pouvez compter sur nous, nous comptons sur vous !

Le Collectif


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mercredi 21 février 2007

LE PEN LES 500 PARRAINAGES … ET LES AUTRES.



LE PEN LES 500 PARRAINAGES … ET LES AUTRES.


Ainsi, Jean Marie Le Pen a encore du mal à obtenir les 500 signatures de Maires (et assimilés) indispensables pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle Française.

Alors, certes ce système de pré-vote censitaire (et encore quasi censitaire, encore une particularité ubuesque de notre système si « démocratique ») est à la fois injuste, incompréhensible et dictatorial. Le Pen a d’ailleurs raison de dénoncer le fait qu’une partie du scrutin devient de fait public et non secret, c’est indéniable. Quant aux autres tenants du système, leur réponse toute officielle relevant du principe ultra républicain « Dura Lex Sed Lex » n’est que le cache misère de leur mauvaise foi sans borne. La façon dont un Bayrou a osé dire, sans honte, que si Le Pen était absent, c’était qu’il n’avait pas pu se mettre en conformité avec la Loi et qu’il n’y aurait alors rien à redire, le disqualifie par avance.

Cependant, essayons d’aller plus loin. Jean Marie Le Pen a-t-il tout fait durant ses « 56 ans d’expérience politique » qu’il se targue d’avoir pour se mettre à l’abri de ce genre de mésaventure. Il apparaît clairement que NON.

Tout commence en 1980. Pour la Présidentielle de 1981, deux candidats nationalistes sont en compétition. Pascal Gauchon pour le PFN et Jean Marie Le Pen pour le FN. A l’époque, le FN est très loin de faire l’unanimité dans les milieux nationalistes. Certes, Jean Pierre Stirbois en est le secrétaire général depuis 1978 et l’assassinat de François Duprat, mais il n’a pas encore eu le temps de restructurer le Front National. De plus, certains se méfient de son passé « solidariste », du moins des campagnes trop « libres » que certains solidaristes ont mené sans que Stirbois y soit pour quoi que ce soit. A l’époque, c’est le FN ultra tradi de l’historien Jean François Chiappe, de Michel de Saint Pierre, de Michel de Camaret, sans oublier les Brigneau et Holleindre. En fait, ce qui gène le FN, c’est le PFN (Parti des Forces Nouvelles), mouvement dominant dans la sphère nationale dans les années 70 et jusqu’en 1984. Pascal Gauchon a la préséance comme la prédominance. Le Pen n’en a cure et maintient sa candidature. Le système est en crise car le comique Coluche entend bien se présenter. Immédiatement, la réponse du gouvernement, à Coluche comme aux deux candidats de la droite nationale, est de passer le nombre de parrainages nécessaires de 100 à 500. Coluche laisse tomber sur pressions Mitterrandiennes. Le Pen et Gauchon se battent. Pascal Gauchon a de l’avance. Pour relancer la machine, Jean Marie Le Pen crée les « Comités Le Pen ». En fait, cette guerre laissera les deux rivaux au tapis. Jean Marie Le Pen obtient ce qu’il veut, l’élection de François Mitterrand, la mort à terme du PFN et la main mise sur la Droite Nationale.

1983, les élections municipales. Tout se passe à peu près bien pour le FN et le PFN. Le Mouvement National commence à creuser son sillon. 1984, c’est le succès aux européennes + le « Tonnerre de Dreux » + les adhésions en masse. Fin 1984, il n’y a plus de PFN, celui-ci se dissoudra en 1985. Tout va bien. Mais très vite les choses dérapent. 1985, pas mal de militants de terrain sont débarqués aux cantonales, alors que le mouvement manque de cadres. C’est la première scission avec la création du FON, Front d’Opposition Nationale. C’est également à cette époque que les graves crises internes prennent racine, comme sur le Var avec le sort fait à Bernard Mamy et le parachutage de Le Chevalier. 1986, ce sont les premières purges pour faire des places aux arrivés des alliés du CNIP, de la Coordination rurale, des CAR et du CIDUNATI. 1987, ce sont les départs de François Bachelot, Yvon Briant, Edouard Frédéric Dupont et Pascal Arrighi. 1988, après le succès à la présidentielle, c’est la catastrophe des législatives. Le FN aura du mal à s’en remettre. Fin 1988, décès de Jean Pierre Stirbois. 1989, Le Pen installe partout ses amis en tant que têtes de listes aux élections municipales. Au lieu de profiter du travail des cadres locaux sur le terrain, Le Pen ne donne des gages qu’à ses amis personnels. Il paye cher aujourd’hui cette incurie dans la politique d’enracinement du Front National. Certains dirigeants parachutés du FN dépense des fortunes se voyant élus. Les résultats sont catastrophiques, à l’image de ceux de JMLP lui-même qui, refusant de demeurer politiquement à Marseille après son semi échec des législatives, préfère aller à Paris XXème ou il fait un flop. Divine surprise, nous avons un Maire en la personne de Charles de Chambrun, ex giscardien bon teint et ami personnel de Jean Marie Le Pen, à Saint Gilles du Gard, ville d’où est parti Saint Louis pour les Croisades. L’expérience ne durera pas et la ville sera ruinée par cet incompétent.

1991, ça explose de partout. Quantité de sections FNJ partent ailleurs chercher l’aventure. C’est le renouveau du GUD, de l’œuvre Française, mais surtout du succès incontestable à l’époque des radicaux du JNR. Plus politiquement, il y a d’autres départs correspondant à la création d’autres structures en dehors du FN. Ce sont des régionalistes, (Alsace, Savoie, Normandie, notamment), ce sont des associations demandant le départ sans condition de Jean Marie Le Pen et une direction collégiale du FN « Bruno Mégret – Marie France Stirbois », (en l’occurrence « Espace Nouveau », club et journal de Michel Schneider dont la lecture du numéro UN est édifiante. A noter que Schneider ralliera JMLP contre Mégret en 1999, comprenne qui pourra), ce sont des partis politiques (« Stop à l’Immigration », MIN, AP, AN), sans compter les départs dans la nature de nombreux cadres qui ne comprennent déjà plus pourquoi on détruit l’héritage de Jean Pierre Stirbois.

1992 est une année paradoxale. Le FN perd le gouvernement en commun de quelques régions avec le « RPR UDF », dont la PACA et le Languedoc Roussillon. Dans le même temps, son score aux régionales est prometteur. Il en est de même aux cantonales. On espère enfin en un enracinement du Front. L’année se termine par une excellente campagne contre le traité de Maastricht ou le référendum est perdu de très peu. Patatras, l’année 1993 affirmera le contraire. Aux législatives, ce ne sont que des parachutages des plus mauvais. Le RPR et l’UDF prennent le pouvoir sans que le FN ait son mot à dire.

1994. Départs de nombreux cadres du mouvement qui ne comprennent pas que Jean Marie Le Pen n’investisse pas dans la propagande avec l’argent dont dispose le FN depuis le financement public, sans compter les adhésions et les reversements des élus, (radios, TV Satellite, etc). Bruno Mégret (aidé de Philippe Colombani alias Aramis) tente de lancer un quotidien moderne « Le Français ». Jean Marie Le Pen donnera des instructions pour saborder cette initiative (déjà) et on entendra alors ce slogan dans tous les couloirs du FN, « Le Français, premier journal allemand en langue française ». L’expérience du « Français » durera quelques semaines. Aux européennes, le FN est devancé par les listes « Villiers » et « Sarkozy ». A noter pour l'année 1994, l'épisode pitoyable « Lorrain de St Affrique » que JMLP enverra au charbon contre Mégret avant de le sacrifier...


1995. Année chargée. Présidentielle + Municipales + Cantonales. A la Présidentielle, JMLP termine 4ème (comme en 1988) derrière Jospin, Chirac et Balladur, avec le très bon score de 15,2%. Aux Municipales le FN gagne trois villes : Orange, Marignane et Toulon. Une quatrième suivra avec la victoire de Bruno Mégret à Vitrolles. En dehors du cas très particulier de Toulon (et de St Gilles), toutes les gestions de ces villes, (avec en plus Dreux, Le Luc et Chauffailles), seront des réussites (au grand dam de Le Pen qui n’aura de cesse de démolir les cadres locaux aux succès probants). Aux cantonales, le Front s’enracine de nouveau. Mais la fin d’année voit apparaître les prémisses de la très grave crise de 1998. Beaucoup de militants ne comprennent pas que Le Pen casse du sucre sur le dos de ses plus fidèles militants qui ont réussi localement.

La suite est connue de toutes et de tous. Crise lors des Congrès de Port Marly, puis de Strasbourg, crise lors des régionales de 1998 avec le refus de Le Pen de voir le FN diriger la PACA par un autre que lui (tentatives de Le Chevalier/Madelin, puis de Mégret/Stellardo), implosion du FN fin 1998 (comme le dit une de nos contributrices « une chatte n’y retrouverait pas ses petits »), européennes ratées en 1999 (merci le trio Charles de Gaulle, Samuel Maréchal, Jean Claude Martinez), municipales ratées en 2001 (plus de militants = plus de candidats), succès lors de la Présidentielle de 2002, puis le néant absolu de 2002 à maintenant, à l’exception de l’anesthésie « Marine » conduisant aux reniements et à la ruine de nos idées. JMLP n’arrive même plus à gérer le cadeau de 2002 lié au ras le bol total du peuple français. « Le Pen – Le Peuple ! » ? « Le Pen Vite ! » ? Que c’est loin tout ça…

Jean Marie Le Pen n’a jamais laissé se développer les initiatives locales et régionales qui auraient enraciné notre mouvement et qui aurait réglé une bonne foi pour toute le problème des « signatures ».

Mais il y a bien pire. En refusant de discuter avec d’autres formations nationalistes, (Le Pen avait besoin du MNR pour ses 2% + quelques signatures garanties, le PP est venu la corde au cou et Le Pen refuse ne serait-ce que de répondre aux autres formations), en rejetant carrément la main tendue de certains, dont Alsace d’Abord, en laissant sa fille insulter les régionalistes et la « vieille garde » et en s’affichant avec un ex ennemi comme Soral, (qui se permet même d’insulter le FN version Stirbois), tout en rejetant ses fidèles de 1998, on peut se poser la question de savoir si Jean Marie Le Pen veut réellement les fameux parrainages. On peut en douter quand on voit qu’il a donné son accord à la création d’une association frontiste « contre l’Union avec Alsace d’Abord » (SIC), quand on sait qu’il a donné des consignes pour que ce qu’il appelle « les radicaux » soient exclus de toute manifestation de sa campagne, (Soral, Rost, Dieudonné, Ahmed Boualek et les autres sont-ils des « radicaux » plus fréquentables que les autres ?), et quand on sait que rien n’a été fait pour conserver de bonnes relations avec les « parrains » de 2002.

Mais il y a pire encore à l'heure actuelle. Aussi surprenant que cela puisse paraître, deux petits candidats viennent de confirmer qu’ils avaient leurs parrainages. Outre le représentant du Parti Fédéraliste qui a annoncé qu’il avait déjà 737 parrainages (SIC), le candidat indépendant des banlieues, Rachid Nekkaz, a annoncé « qu’il les avait depuis longtemps » (apparemment plus de 650). Inutile de dire que c’est une bien mauvaise nouvelle pour JMLP, qui ne pourra plus compter sur ses nouveaux amis des banlieues, selon son propre principe affirmé qui veut que « les gens préfèrent TOUJOURS l’original à la copie ». Il suffit de regarder le CV de ce Nekkaz pour comprendre que Jean Marie Le Pen va recevoir l’effet boomerang en pleine figure et que sa tentative de manipulation va se retourner contre lui. Il n’y a aucune raison valable pour que le communautarisme ne fonctionne pas à plein chez les jeunes de banlieue qui n’ont plus confiance dans le système actuel. Il se sera alors fâché avec sa base pour des clopinettes. Comme toujours hélas… Nous ne pouvons même plus croire « au miracle », au pouvoir de contrer ou de canaliser la synergie du vote rebelle, vieux rêve d’utopistes destructeurs de notre idéal. Pourquoi ? Parce que le miracle pour tous, on peut éventuellement y croire, mais le miracle au service des intérêts particuliers d’un clan, non merci !

D’ores et déjà, l’extrême gauche est certaine d’avoir 3 candidats. Marie George Buffet pour le PCF, Arlette Laguiller pour LO et Schivardi pour le PT ( ???) qui vient d’annoncer qu’il « déposerait bien ses signatures en bonne et due forme et à temps ». Besancenot, Bové et Voynet pourraient suivre…
Les autres sont tous autour des 450 : Villiers, Dupont Aignan, Nihous (CPNT) et un inconnu du nom de Governatori, en fait prête nom du comique Bernard Menez qui veut entrer en politique (SIC). [En fait pour Nihous et Governatori il faudrait diviser par deux au moins leurs chiffres "officiels"] Le « trouble » Cheminade est à 260, l’inénarrable Miguet à 150 (en réel), Franck Abed (de Réconciliation Nationale, Bonapartistes) en est à 296, Yves Marie Adeline (à surveiller) a déjà environ 300 parrainages, Roland Castro (architecte de Mitterrand, ex fondateur des brillants forums « banlieue 89 » et extrémiste de gauche [encore un] à peine déguisé) a 175 signatures, Edouard Fillias d’Alternative Libérale (pourtant soutenu par Alain Madelin) en a à peine 200, ce qui est déjà pas mal pour un inconnu, les trois autres écolos en plus de Bové et Voynet, Waechter (MEI), Gamerre (GE) et Corinne Lepage (Cap 21) en sont respectivement à 290, 260 et 240 parrainages,

Les quelques dizaines d’autres micros candidats (Dont deux représentants des handicapés, le mannequin « actrice » porno du Parti du Plaisir (tout un programme), un libanais dont le programme ne concerne que la Palestine, un deuxième fédéraliste, un candidat pour l’instauration du PDR (Président Dictateur Républicain) M Lucien Sorreda, un nationaliste atypique, Armand Galea (« Pour l’Honneur de la France » dont la devise est: HONNEUR, PATRIE, COURAGE, TRAVAIL!), un candidat de l’Esperanto, un candidat des « candidats émergents » (représentant 10 candidats rien que ça), plus une dizaine d’ultra marginaux se faisant un coup de pub. (Ouf, nous espérons n’avoir oublié personne) Le tout représente tout de même plus de 1000 parrainages que n’auront pas les autres, ce qui est un peu scandaleux, mais nous n’avons jamais cru au système en place. Ajoutons que certains envisagent de s’unir pour y aller, mais qui sera alors tête de liste ? Mystère. Attendons de voir … et surtout de rire.

A noter qu’il y a deux « Nationaux Républicains », (en même temps tous les deux d’origine maghrébine) chouchous de Roger Holleindre, qui marchent ouvertement sur les traces du « Nouveau Front national », Soheib Bencheikh de l’Elan Républicain, et Romdane FERDJANI, Président de l’UMC (Union de la Majorité Citoyenne – Voix de la Majorité Silencieuse). A eux deux, ils auraient 350 parrainages et une rumeur « Internet » (à prendre avec des pincettes) annoncerait un rapprochement avec Franck Abed et RN sur une ligne « Nationale Républicaine ». A voir… Vous pouvez consulter leurs programmes sur Internet très facilement.

Nous précisons que, pour le moment, nous n’avons de contact avec aucun de ces candidats, et, que toute chose analysée, nous pourrions reconsidérer notre position d’abstention nationale uniquement si M Adeline ou M Galea étaient réellement présents. Nous en sommes très loin et il nous étonnerait que l’un ou l’autre y arrive.

Nous avons fait ce rapide tour d’horizon pour bien montrer la réalité aux sceptiques.

UN, Jean Marie Le Pen a perdu toute chance de récupérer les votes des rebelles communautaires de banlieue avec la candidature confirmée de Rachid Nekkaz.

DEUX, JMLP n’est pas à l’abris d’une mauvaise surprise électorale, avec la présence d’un « petit » concurrent de dernière minute, chez les « Nationalistes », que ce soit Yves Marie Adeline, Lucien Sorreda (quoique son programme est « suspect ») ou Armand Galea, voire une union des trois (pourquoi pas).

TROIS, JMLP n’est pas à l’abris non plus d’une candidature « Nationale Républicaine », qui marcherait sur ses plates bandes, qu’elle se concrétise par Soheib Bencheikh, Romdane FERDJANI ou Franck Abed, voire une union des trois, là aussi, nous n’en savons rien pour le moment. Dans ce domaine là comme dans les autres, les électeurs préfèrent TOUJOURS l’original à la copie.

QUATRE, des candidatures de division et de dispersion des voix sont tout à fait envisageables. Nous les connaissons. Il s’agit notamment de messieurs Cheminade (classé à l’extrême droite on ne sait pas trop pourquoi, est-ce parce qu’une fois le nom de Serge de Beketch figurait sur une pétition en faveur de « l’association de défense des droits civiques » proche de la Fondation Lyndon Larouche [?] ou tout simplement parce que le système américain classe M Larouche (« Gourou » de M Cheminade) à l’extrême droite [?]), Miguet (RCF) et Nihous (CPNT).
Apparemment, Nicolas Miguet ne devrait pas y arriver. Aidera t-il les autres ?... Miguet acceptera t-il de composer avec Governatori le (très) mal nommé pour sortir de l’impasse « eurotunnel » et faire enfin de la politique, ce qu’aurait du lui permettre ses millions d’Euros. Cela nous étonnerait, comme il nous étonnerait que le collègue de Bernard Menez veuille s’embarrasser de l’encombrant Miguet. Pour le moment ces micro candidats à l’amateurisme bien connu se comportent comme des poissons rouges ne voulant pas partager le même bocal, mais, les manipulations aidant, tout est possible. Reste que si un "coup de pouce" vient aider Nihous, le moins "amateur" des trois, le vote CPNT risque bien de faire, là aussi, défaut à Jean Marie Le Pen.

CINQ, il est clair que Jean Marie Le Pen paye ses « galères » de signatures par sa volonté de ne jamais voir son mouvement devenir populaire, de masse et enraciné. C’est de sa seule faute s’il en est là. Le système a bon dos. Pour s’en convaincre, il suffit de constater les raisons pour lesquelles M Allenbach du Parti Fédéraliste a obtenu 737 parrainages. Il a simplement utilisé un argumentaire à destination de toutes les mairies frontalières. Si JMLP avait rejeté le jacobinisme constructiviste et accepté le principe de subsidiarité en défendant les identités régionales (qui participent pleinement de l’identité nationale) il aurait déjà ses parrainages. Et ce n’est qu’un tout petit exemple.

A force de trahir et de ne plus faire confiance qu’à l’amateurisme de sa fille, Jean Marie Le Pen n’a aucune possibilité d’assurer lui-même sa présence à la Présidentielle. Et pourtant Dieu sait qu’il y avait à faire, et que, même en décembre dernier, tout était encore « sauvable » et donc jouable. Jean Marie Le Pen nous a fermé la porte dans tous les sens du terme, il ne s’est pas rendu compte que c’est lui qui est maintenant enfermé dans sa tour d’ivoire, avec sa fille, Aliot et Martinez.
A le voir piégé ainsi en « aussi bonne compagnie », on n’aimerait pas être à sa place…

Heureusement que le ridicule ne tue pas.



PLUS QUE JAMAIS PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007

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dimanche 18 février 2007

JEAN MARIE LE PEN SUR LCI : DERNIER TANGO DE M LOYAL…


JEAN MARIE LE PEN SUR LCI : DERNIER TANGO DE M LOYAL…


Jean Marie Le Pen était, aujourd’hui, de 18h30 à 19h30, invité du « Grand Jury LCI – RTL – Le Monde ».

Autant le dire tout de suite, il a une nouvelle fois désespéré les nombreux nationalistes et patriotes qui attendaient qu’il clarifie certains sujets sensibles, qu’il mette fin aux polémiques et qu’il revienne à la raison.

Il n’en a rien été, bien au contraire. Nous sommes consternés de voir que Jean Marie Le Pen poursuit se stratégie suicidaire, et cela ne fait que nous renforcer dans notre action.

Durant toute l’émission, M Le Pen est apparu très fatigué, allant jusqu’à avoir des pertes de mémoires. Pour la première fois de sa vie sans doute, il a, à de très nombreuses reprises, eu des ratés, comme « Je crois que », « Je pense que », « Je ne sais plus », « On m’a dit que », « On me prépare ça pour la convention », allant même jusqu’à ne plus savoir quand son programme « de gouvernement » serait publié. Ca, c’est pour la forme.

Sur le fond, Jean Marie Le Pen a oscillé entre reniements et Tango. Il a d’abord surfé sur ses reniements avant de se sublimer politiquement sur le tempo préféré des argentins, confirmant, sur l’immigration, tout ce que nous avons déjà dénoncé depuis des semaines. Il a confirmé un reniement supplémentaire. Ainsi, le FN ne propose plus la création de caisses de cotisations séparées pour les Français et les immigrés. C’était pourtant un « élément clé » du programme du Front National depuis 1986 et le livre de Jean Yves Le Gallou et Jean Pierre Stirbois : « Préférence Nationale : Réponse à l’immigration ». Outre qu’on ne sache plus ou va Le Pen techniquement sur l’immigration, (totale absence de programme détaillé), dorénavant, Jean Marie Le Pen est clairement pour l’intégration des immigrés « qui le désirent » à condition « qu’ils se tiennent tranquilles ». C’est beau comme du Bayrou. Qu’est-ce qui le différencie des autres, Villiers, Dupont Aignan et Sarkozy en tête. Bien peu de choses finalement, à part peut être la même détestation des nationalistes et des tenants de nos traditions.

Sur l’avortement, M Le Pen ne s’est pas caché d’avoir changé, mais, ce qui est le plus choquant, c’est quand il a affirmé : « Je ne suis pas un moraliste » ! Or, ce qui a fait son succès dans nos rangs depuis des décennies, c’est que, justement, il était seul alors à affirmer que la politique était aussi affaire de morale. Rome n’est réellement plus dans Rome.

Sur l’économie et le social, il est resté dans le flou de plus complet, hormis quelques réformettes ajustées dont se satisferait amplement le système en place. Et sur la peine de mort, il est pour mais il ne sait ni quand ni comment il la rétablira, ne s’étonnant même pas que ses deux derniers fidèles, (sa fille et Jean Claude Martinez) soient contre.

Entre deux bafouillages dont il n’est pas coutumier, Jean Marie Le Pen a trouvé le temps de poursuivre son œuvre de démolition de l’Union Patriotique, ne ménageant pas ses efforts pour humilier Bruno Mégret par petites phrases perfides et insinuations mensongères. Sur une heure d’émission, il y a presque passé 10 minutes. Ainsi, M Le Pen a certifié qu’il « n’attendait rien de Bruno Mégret », que celui-ci lui avait rapporté 10 parrainages, (en fait c’est 14 et apparemment Mégret en aurait plus de 30 autres très bientôt et Le Pen le sait), et qu’il n’y aurait pas d’autre forme de campagnes que séparées. Il a estomaqué les journalistes quand il a sorti qu’il espérait que M Mégret ne bloque pas et ne freine pas sciemment. Et quand Jean Michel Apathie lui a justement fait remarquer que c’était stupéfiant d’accepter l’Union pour ensuite la critiquer, Jean Marie Le Pen a nié sourire aux lèvres. Pitoyable ! De plus, il a reconnu officiellement que sa fille Marine n’aimait pas beaucoup Bruno Mégret, ajoutant que, selon lui, beaucoup de militants du FN n’avaient pas pardonné. Inutile de dire que c'est faux, 80% des membres du Bureau Politique du FN (tous des héros de la lutte contre Mégret) ayant même demandé une totale intégration de Mégret et du MNR dans la campagne, à l'instar de Carl Lang et Bruno Gollnisch. (voir aussi notre sujet "L'Etat réel du FN et de la Droite Nationale"). Du reste, il suffit de lire la presse nationale pour comprendre que demain, si les nationalistes ont le choix entre Marine Le Pen et Bruno Mégret (si Lang et Gollnisch ne font rien évidemment), cela donnera un score plébiscitaire pour Mégret.


Nous avons déjà parlé de la « Farce de l’Union Patriotique », aussi nous nous contenterons de redire que la non intégration de tous les patriotes, à commencer par toutes ses composantes, dans l’Union Patriotique, est pire qu’un crime mais une faute que Le Pen paiera cher lors de l’élection. En effet, non seulement les nationalistes passent pour des « rigolos »en se distinguant par le bas, non seulement cela donne une bonne excuse pour les Villiers et Dupont Aignan de ne surtout pas y aller, mais en plus ces « clowneries » grotesques produisent exactement l’inverse du résultat recherché, l’électeur étant las de ces querelles. C’est vraiment n’importe quoi. Jean Marie Le Pen a même fait rire, lorsqu’il a affirmé que 4, 5 ou 6 formations (il ne se souvenait plus) s’étaient jointes à l’Union Patriotique, contredisant son propre staff de campagne (et les observateurs attentifs de la vie publique) qui avait reconnu que « seuls le MNR, le Parti Populiste et Alain Soral composaient l’Union Patriotique en dehors du Front National ». JMLP n’est plus à une boutade près.

Il a même réussit à donner des voix à Philippe de Villiers, quand, répondant à une question de Jean Michel Apathie qui lui demandaient ce qu’il pensait des propos de Villiers à son endroit, Jean Marie Le Pen lui a rétorqué qu’il conseillait à De Villiers de s’occuper de ses problèmes familiaux. Apathie, soupçonnant (espérant) un nouveau dérapage sur l’affaire du fils cadet du Vicomte de Vendée rebondit en demandant à Jean Marie Le Pen ce qu’il pouvait bien dire par là. M Le Pen s’aperçut de la manœuvre, et après avoir encore bafouillé, affirma solennel, « M De Villiers parle de sa famille déportée mais il ne fait pas mention de son père prisonnier pendant 4 ans pour cause d’OAS. Quand on aime sa famille, on l’assume fièrement ». Outre l’indélicatesse du propos, (après tout chacun a le droit de dévoiler ce qu’il veut de son passé et qu’aurait dit M Le Pen si son père avait été communiste), Jean Marie Le Pen a sûrement apporté toute la sympathie de la communauté Pied Noir au Vicomte.
C’est ce qui s’appelle le réalisme et l’efficacité politique.

Après avoir commencé en fanfare, puis exécuté quelques pas de Tango avant de conclure pompeusement dans le style « j’en garde sous le pied », Jean Marie Le Pen s’est comporté finalement tel qu’il est devenu. C’est triste, surtout pour un homme que nous avons tous admiré. Consternant surtout de constater qu’il n’est plus que le « Monsieur Loyal » de son propre cirque, en partie « grâce » à sa fille, dont la spécialité est le Trapèze, mais avec un bon filet, y compris financier.

Dernière représentation de la Compagnie Le Pen père et fille le 22 avril 2007.



PAS UNE VOIX PATRIOTES POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007

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vendredi 16 février 2007

SCOOP : DERNIERE MINUTE : RMC INFO


SCOOP : DERNIERE MINUTE : RMC INFO

LE PEN RECOIT CHEZ LUI LE RAPPEUR EXTREMISTE ROST


L’information date d’il y a seulement quelques minutes. On apprend par la station de radio RMC que Jean Marie Le Pen a reçu chez lui, très amicalement et pendant deux heures, le rappeur noir Rost, dont la haine et l’ultra violence anti France ne sont plus à démontrer.

Rost est le fondateur d’une des nombreuses associations financées par nos subventions (« Banlieue Active ») afin d’aider les « jeunes défavorisés de banlieue à s’inscrire sur les listes électorales ». Il a affirmé qu’il était allé voir Jean Marie Le Pen, comme il ira voir « tous les autres », afin de lui soumettre 10 questions sur la banlieue et ses jeunes. En cela, quoi de mal, si ce n’est que Jean Marie Le Pen a toujours catégoriquement refusé de recevoir à Saint Cloud ne serait-ce qu’un seul dirigeant de formation nationaliste et/ou identitaire. On croit rêver ! Mais il y a bien pire. Sur les 10 questions posées à Jean Marie Le Pen (comme sur les 10 réponses), Rost a voulu conserver le secret et en garder la primeur pour plus tard, à l’exception d’une seule, lisez bien et accrochez-vous :
« Les jeunes émeutiers des quartiers, en 2005, [NDLR : Ceux qui ont « tout cassé », pillé, incendié et terrorisé la France pendant un mois] étaient des désoeuvrés, souvent primo délinquants, et ils ont agit pour des motifs sociaux. Aussi, êtes-vous pour leur amnistie ? » Réponse de Jean Marie Le Pen : « OUI, je n’y suis pas opposé ! » !!! « OUI JE N’Y SUIS PAS OPPOSE » !

Que M Jean Marie Le Pen n’aime pas les Nationalistes, les Identitaires et ses anciens amis, on peut l’admettre, étant donné ses reniements et les agissements troubles de sa fille. Qu’il refuse de nous recevoir chez lui malgré tout ce que nous avons fait pour sa gloriole, nous nous en moquons éperdument, nous luttons pour un idéal, mais que, dans le même temps, il fréquente et reçoive chez lui Rost, après avoir pris l’ex Marxiste Alain Soral comme conseiller personnel, et qu’il lui assure ne pas être opposé à l’amnistie des émeutiers de banlieue, là on ne peut que condamner cette haute trahison de la manière la plus ferme. CAR C’EST BEL ET BIEN UNE LACHE ET HAUTE TRAHISON ! Là, c’est clair au moins, et ceux qui hésitaient encore le savent…

Nous sentons la colère monter dans les rangs nationalistes et nous sommes de moins en moins isolés. Notre position courageuse est apparue un peu « folle » à certains à ses débuts, mais devant la réalité, le sage ne peut que s’incliner. Nous aurons malheureusement eu raison avant les autres. Nous n’en tirons aucune gloire et aucun sentiment de victoire. La victoire sera là seulement quand nous aurons empêché Jean Marie Le Pen d’être au second tour.

Comment des nationalistes peuvent encore soutenir Le Pen et, à travers lui, la trahison de toutes nos valeurs ? On se le demande…

Aidez-nous à nous faire connaître par tous les moyens. Parlez de nous autour de vous. Soutenez-nous et participez à notre campagne.


FRANÇAIS REVEILLEZ-VOUS ET OUVREZ LES YEUX !
PLUS QUE JAMAIS PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN LE 22 AVRIL 2007 ! 100% NATIONALISTES ! 100% CONTRE LE PEN !
AUCUN DE CEUX QUI SE PRESENTENT !
ABSTENTION NATIONALE !

Voici ces quelques liens pour mieux comprendre :

http://www.rmcinfo.fr/presidentielle2007/index.php?2007/02/16/247-le-pen-rap (avec les deux extraits audio de l’interview de Rost)
www.banlieueactive.com (le site de Rost et de ses amis … Edifiant. Allez y faire un tour)
http://quartiersc.canalblog.com/archives/citoyennete/index.html

A noter que Philippe de Villiers a refusé de recevoir Rost de façon sèche et nette. Quitte à nous faire insulter par la Lepénie patenté, nous disons bravo à M De Villiers. Nous ne voterons pas pour lui et nous n’appellerons jamais à le faire pour des raisons évidentes, tant idéologiques que programmatiques, mais ce Le Pen qui trahit tout et tout le monde, après « avoir tout cassé », nous en donne furieusement envie. Cependant, nous resterons fidèles contre vents et marées à notre position qui est celle de l’abstention nationale et patriotique.

Dans ce monde fou et décadent, plus que jamais il nous faut des repères clairs.

TOUS ENSEMBLE PENSONS DES MAINTENANT A BATIR UNE VERITABLE UNION PATRIOTIQUE SUR DES BASES SAINES ET NOUVELLES

jeudi 15 février 2007
















*******************APPEL****URGENT****APPEL*****************************************************************

MOBILISATION GENERALE POUR NOTRE GRAND APPEL DU 15 MARS 2007 : L’APPEL DES 200 PERSONNALITES NATIONALISTES ET PATRIOTES CONTRE JEAN MARIE LE PEN !...


Nous lançons dès aujourd’hui un appel à toutes les bonnes volontés. Nous sommes déjà plus de 700 dans notre collectif, humbles ou puissants, mais tous unis par l’amour que nous portons à notre pays et à nos valeurs. Nous avons décidé de publier, le 15 mars 2007, soit quelques jours avant le lancement officiel de la campagne pour l’élection présidentielle, un appel de 200 personnalités nationalistes « incontestables » appelant l’ensemble de nos compatriotes à ne pas voter pour Jean Marie Le Pen et à relayer cet appel dans toute la France. Ce sera là une réponse éclatante ET AU GRAND JOUR pour tous ceux qui auraient pu penser à tort que nous n’étions pas très nombreux.

Nous avons d’ores et déjà 42 personnalités prêtes à signer cet appel solennel. Nous avons donc besoin de votre aide. Parlez de cette initiative autour de vous, parlez en à vos amis, à vos relations, puis écrivez nous pour nous transmettre les coordonnées de toute personnalité désireuse de signer notre appel.

Pour pouvoir prétendre signer cet appel, il faut être une personnalité nationaliste « incontestable ». Les critères retenus sont les suivants : (nous acceptons toutes les tendances nationalistes: Nationaux-Libertaires, Nationaux Républicains, Patriotes Libéraux, Nationalistes Sociaux, Nationalistes Révolutionnaires, Monarchistes, Bonapartistes, Identitaires, Pro Vie, Catholiques de Tradition, Régionalistes etc)

- Avoir été un militant engagé et reconnu comme tel d'au moins une des grandes causes nationalistes de toujours.
- Avoir été candidat à au moins une élection législative, une élection municipale (en position éligible et dans une commune de plus de 10.000 habitants), une élection européenne, une élection sénatoriale, les élections cantonales étant exclus (trop de cas d’amateurisme pour cette élection précise malheureusement).
- Avoir été (ou être) Secrétaire de circonscription (pas de ville ni de canton), membre du conseil national, membre du comité central ou membre du bureau politique du FN ou du MNR.
- Etre (ou avoir été) Président, membre de bureau politique ou de comité directeur, de toute organisation nationaliste (mouvement, parti, club, cercle philosophique, culturel, artistique, littéraire, sportif, etc), entre 1930 et aujourd’hui. Dans ce cas, nous contacter directement.
- Etre (ou avoir été) engagé de façon importante dans la lutte pour nos idées dans le cadre culturel, associatif, syndical et/ou professionnel.
- Etre un authentique intellectuel, artisan ou artiste, partisan de la cause nationale.
- Etre Journaliste de la Presse Nationale.

Nous n’avons ni l’argent des grands trusts ni l’argent des banksters ! Aidez-nous à relayer notre appel, aidez-nous par tous les moyens à nous faire connaître. Nous avons besoin de vous. Grâce à vous, nous pourrons publier le 15 mars 2007 notre grand appel des 200, l’Appel des Nationalistes à l’abstention nationale. Nous avons besoin de vous pour la victoire de nos idées. Elle passe par l’éviction de Jean Marie Le Pen du second tour, comme nous l’expliquons inlassablement sur notre site et sur le terrain. Nous avons besoin de personnalités en tête d'affiche, mais tous les soutiens (membres ou non du collectif à savoir plus de 800 personnes d'ores et déjà) seront mentionnés sur l'appel et publiés intégralement sur le site. Merci...

AIDEZ NOUS POUR QUE LE 15 MARS 2007 NOUS ANNONCIONS AU PAYS ET A LA PRESSE QUE NOUS LANCONS NOTRE GRAND APPEL NATIONALISTE. LE 15 MARS 2007 NOUS DEVONS AFFICHER LA COULEUR CLAIREMENT ET MARCHER TETE HAUTE ET MAINS PROPRES ! 100% NATIONALISTES ! 100% CONTRE LE PEN !

NOUS AVONS BESOIN DE VOUS ! LE 22 AVRIL PAS UNE VOIX POUR JEAN MARIE LE PEN ! LE 22 AVRIL 2007 APPELER A NE PAS VOTER POUR JEAN MARIE LE PEN ! LE 22 AVRIL 2007 PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE CANDIDAT DE LA FAUSSE DROITE NATIONALE !
100% NATIONALISTES ! 100% CONTRE LE PEN !
LE 22 AVRIL :
AUCUN DE CEUX QUI SE PRESENTENT !
ABSTENTION NATIONALE !

MODELE TYPE DE NOTRE APPEL
UNION DES PATRIOTES CONTRE LE PEN - APPEL DES PATRIOTES, NATIONALISTES ET NATIONAUX CONTRE LE PEN
(Texte officiel tel qu’il sera publié le 19 mars 2007)


Inutile de ne pas le dire immédiatement, nous ne voterons pas pour Le Pen, le 22 avril 2007, lors du premier tour de l’élection présidentielle ! Pire, nous allons mener campagne pour qu’aucune voix de patriote ne se porte sur le candidat résiduel du camp national.

Nous sommes intimement persuadés que l’immense majorité d’entres vous comprendra notre démarche de salut public pour nos idées et notre avenir.

Nous représentons toutes les tendances nationalistes et patriotes, présentes ou non au sein du Front National et nous n’avons pas peur d’affirmer que Jean Marie Le Pen a trahit à la fois nos idées, son passé, ses fidèles, notre histoire et notre volonté. Nous avons longuement hésités avant de nous lancer, certains d’entres nous sont même allés jusqu’à s’humilier une dernière fois en direction du FN pour que le gâchis appelant immanquablement l’échec prévisible soit arrêté. Trop tard, il est définitivement trop tard ! Les derniers évènements nous donnent malheureusement raison. Nous ne voulions pas, nous ne pouvions pas nous taire et laisser faire. C’eut été un crime contre nous-mêmes. Se taire et laisser faire aurait été banal avant d’être fatal. Nous prévenons simplement que nous sommes des militants sincères, unis par leur foi et leur croyance en une plus grande France bien au-delà de leurs divergences. Certains d’entres nous ont connu les années de « traversée du désert » entre 1962 et 1982, d’autres ont participé à la formidable aventure de l’explosion de nos idées grâce à Jean Pierre Stirbois entre 1983 et 1988, d’autres ont connu les années Mégret entre 1989 et 1998 et d’autres sont plus jeunes, se moquant des scissions et des erreurs des hommes, mais toutes et tous nous sommes liés par l’inébranlable conviction que « Demain nous appartient ». Dès lors, nous ferons tout pour que personne, fut-ce Le Pen, ne vienne détruire un travail commencé depuis des lustres et qui n’appartient à aucune coterie comme à aucun homme providentiel.

La volonté clairement affichée de Jean Marie Le Pen de tout faire pour que sa fille lui succède, la mise à l’index de Carl Lang, Bruno Gollnisch et tant d’autres venant après l’odieuse mise au placard de Bernard Antony et de ses amis, la part belle faite à un Soral, éternel marxiste, le sabotage en règle de l’union patriotique par le trio Marine Le Pen, Louis Aliot, Jean Claude Martinez, les reniements et autres multiples trahisons du même clan envers nos idées de toujours acceptés par JMLP, tout cela et le reste nous est devenu insupportable ! Notre conclusion est que si Jean Marie Le Pen est présent au second tour de l’élection présidentielle, ça en sera fini de nos idées, de notre idéal, comme de notre victoire que nous continuons à voir proche et indispensable face aux dangers de demain.

En conséquence, nous appelons toutes et tous les patriotes de toujours, nationalistes, nationaux, amoureux de la France, amoureux de la diversité de nos régions, identitaires, ouvriers, cadres, ingénieurs et paysans, jeunes et moins jeunes, quelle que soit votre place dans la société, à tout faire pour faire barrage à Jean Marie Le Pen lors de l’élection Présidentielle du 22 avril prochain.

Nous devons nous rassembler autour de nos chefs naturels : Carl Lang, Bruno Gollnisch, Bruno Mégret et les autres, afin de rebâtir le Mouvement National de demain une fois écartés les fossoyeurs des idées patriotes.

Suivent les Signataires es qualités :

LE 22 AVRIL 2007

PAS UNE VOIX PATRIOTE POUR LE PEN ! ! !

AUCUN DE CEUX QUI SE PRESENTENT

ABSTENTION NATIONALE ! ! !

UNION DES PATRIOTES CONTRE LE PEN


(Toutes les infos :
http://Lesnationalistescontrelepen.blogspot.com )


- FAITES VOUS ENTENDRE - SIGNEZ TOUTES ET TOUS CETTE APPEL -